J'ai une vision optimiste de tout. C'est obligé, sinon vous deviendriez fou.
Elton John
Le langage de l'amour a une si douce musique, qu'on n'est pas exigeant pour les paroles.
Alphonse Karr
Notre enthousiasme, c'est le fanatisme d'en face.
André Siegfried
L'imagination est toujours avide, elle en veut toujours davantage.
Brian Aldiss
Le luxe commence où finit le nécessaire. Mais le nécessaire des uns est le superflu des autres.
Charles Dollfus
J'ai tenté de faire mon portrait, étant le seul qui veuille poser aussi longtemps pour moi, mais je n'arrêtais pas de bouger.
Daniel Boulanger
C'est la main de l'homme... et la main de l'homme est douce à la femme.
François Truffaut
Brillant n'a au fond qu'un simple désir d'aventure qui se heurte à une époque exagérément rationnelle. Peut-on penser comme Baudelaire avec les mots de Bukowski ?
Frédéric Beigbeder
L'imagination n'est rien d'autre que le sujet transporté dans les choses.
Gaston Bachelard
Ainsi mourut l'un des derniers représentants de cette belle et grande domesticité, mot que l'on prend souvent en mauvaise part, et auquel nous donnons ici sa signification réelle en lui faisant exprimer l'attachement féodal du serviteur au maître.
Honoré de Balzac
Moi qui ne prie pas, je le dis, et certains soirs j'en pleure pour dépasser le présent obligatoire - à travers une télévision de publicité, maintenant orientée vers l'avenir de yohourts et des automobiles.
Marguerite Duras
Mon poids fluctue constamment - je ne prends pas vraiment soin de moi.
Megan Fox
Cinquante ans sans guerre, c'est long. Pas pour les militaires qui préfèrent mourir dans leur lit mais pour les industriels et pour les maçons.
Philippe Bouvard
Tout homme justement décrié pour aimer les flatteurs s'aime toujours passionnément, et cet amour aveugle fait qu'il desire et croit posséder toutes les perfections.
Plutarque
Il n'y a pas de place dans la haute montagne pour le fantastique, parce que la réalité y est par elle-même plus merveilleuse que tout ce que l'homme pourrait imaginer.
René Daumal
Pour sauver ce vieux monde il faut un Dieu nouveau, Et le prêtre demande un autre sacrifice. Voici bien deux mille ans que l'on saigne l'Agneau ; Il est mort à la fin, et sa gorge épuisée N'a plus assez de sang pour teindre le couteau.
Théophile Gautier