... ce climat d'asthme que créent les convictions...
Emil Cioran
L'âge véritable, celui qui compte, ce n'est pas le nombre des années que nous avons vécues, c'est le nombre des années qu'il nous reste à vivre.
Alfred Capus
Où le père a passé, passera bien l'enfant.
Alfred de Musset
comment peut on encore sourire a certaines personnes qui te manipules, qui joue avec tes sentiments, a qui tu donnes ta confiance, a qui tu rend service et qui ne se doute pas du mal qu elles peuvent faire !
Anonyme
Tout homme qui s'élève s'isole.
Antoine de Rivarol
Il n'y a pas de Grecs de souche ; il n'y a pas de Français de souche ; l'idée même d'une souche venue de fond des âges et présente en chacun pour y faire germer l'inépuisable fruit de l'identité, est une idée vide, qui ne sert à rien.
Bernard-Henri Lévy
Ne devrions-nous pas simplement être reconnaissants pour ce qu'on nous a accordé, au lieu de nous lamenter sur ce qui selon nous nous a été refusé ?
Dominic Cooper
Chercher quelqu'un qu'on aime beaucoup, sans être pressé, il n'y a rien de plus réconfortant. Cette personne se trouve dans votre tête, elle est déjà avec vous, et plus le temps passe, plus vous devenez amoureux.
Jacques Poulin
Les hérésies n'ont jamais été que des opinions particulières, puisqu'elles ont commencé par cinq ou six hommes.
Jacques-Bénigne Bossuet
Les préjugés, de quelque espèce qu'ils puissent être, ne se détruisent pas en les heurtant de front.
Jean Le Rond d'Alembert
La voix de l'homme est bien incapable d'offrir autre chose que des perspectives terrestres.
Jean-Paul II
Il faut apprendre à savourer les choses de la vie, sinon on court, on court et on meurt. Et on n'a rien vécu.
Monica Bellucci
Il est des questions qui impliquent une réponse négative, du simple fait qu'on les pose. Et il est des demandes dont la parfaite inutilité éclate au grand jour, lorsqu'on les formule en regardant quelqu'un d'autre dans les yeux.
Patrick Süskind
Ce sont les battus qui payent l'amende.
Proverbe Belge
Enfant mâle, l'enfant-roi.
Shashi Deshpande
Tel qu'en Lui-même enfin l'éternité le change, Le Poète suscite avec un glaive nu Son siècle épouvanté de n'avoir pas connu Que la mort triomphait dans cette voix étrange !
Stéphane Mallarmé