Je passe mon temps à conseiller le suicide par écrit et à le déconseiller par la parole. C'est que dans le premier cas il s'agit d'une issue philosophique ; dans le second, d'un être, d'une voix, d'une plainte...
Quêter l'amour des autres, quand on n'a rien à lui offrir en retour, n'est-ce pas une malhonnêteté ?