Citation de Emile Littré

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Perdre, si on ne meurt pas, ceux avec qui on a commencé la vie, c'est le destin de l'homme ; mais c'est ce que ce destin a de plus... - Emile Littré

Perdre, si on ne meurt pas, ceux avec qui on a commencé la vie, c'est le destin de l'homme ; mais c'est ce que ce destin a de plus dur.

Emile Littré

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Tant qu'on vit en deçà du terrible, on trouve des mots pour l'exprimer ; dès qu'on le connaît du dedans, on n'en trouve plus aucun.

Emil Cioran

L'ambitieux se rêve au faîte du pouvoir, tout en s'aplatissant dans la boue du servilisme.

Honoré de Balzac

On leur bailloit leur orge toute mondée et escorchée, à fin qu'ilz la cuisissent mieulx et la digerassent plutost.

Jacques Amyot

Les catastrophes planétaires sont comme des ronds dans l'eau d'un étang, Pupuce. Il y a toujours un épicentre, un point dans le temps et l'espace d'où tout démarre, même de la façon la plus anodine qui soit.

Jasper Fforde

L'homme n'est pas fait pour construire des murs mais pour construire des ponts.

Lao Tseu

La seule bonne étude qui ait paru sur Balzac est son oeuvre.

Louis Scutenaire

Un pianiste a été arrêté par la brigade des mœurs en plein récital alors qu'il interprétait les Scènes d'enfants de Schumann

Marc Escayrol

Ce qui est à la mode, c'est ce qu'on porte. Ce qui est démodé, c'est ce que les autres portent. Tout comme la vulgarité est aussi l'apanage des autres. Et encore les faux-semblants la vérité des autres.

Oscar Wilde

Les meilleurs traits sont des traits de crayon.

Pierre Baillargeon

Prendre son cul pour ses chausses.

Proverbe Français

Quand on dit "je le crois", c'est qu'on en est certain.

Sacha Guitry

Ne consommons pas Marx.

Slogan de Mai 68

Il ne faut pas ex-aspérer, il faudrait es-pérer. L'exaspération est un déni de l'espoir.

Stéphane Hessel

Madame, sous vos pieds, dans l'ombre, un homme est là - Qui vous aime, perdu dans la nuit qui le voile ; - Qui souffre, ver de terre amoureux d'une étoile ; - Qui pour vous donnera son âme, s'il le faut ; - Et qui se meurt en bas quand vous brillez en haut.

Victor Hugo

Oh ! La muse se doit aux peuples sans défense - J'oublie alors l'amour, la famille, l'enfance, - Et les molles chansons et le loisir serein, - Et j'ajoute à ma lyre une corde d'airain !

Victor Hugo