Citation de Emile Zola

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Solide, avec la fertilité impassible de la terre qu'on ensemence, la vache avait reçu, sans un mouvement, ce jet fécondant du mâle.... - Emile Zola

Solide, avec la fertilité impassible de la terre qu'on ensemence, la vache avait reçu, sans un mouvement, ce jet fécondant du mâle.

Emile Zola

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Il n'est pas vrai qu'il faut souffrir pour créer. Il suffit de savoir comprendre.

Alice Parizeau

La responsabilité de ceux qui ont la charge de nourrir nos rêves et qui, sous le mauvais prétexte de plaire à tous, pourraient oublier que l'essentiel est encore de susciter chez les hommes "les goûts qu'ils ignorent en eux".

André Brincourt

Un pays qui ne respecte pas les droits de ses propres citoyens ne respectera pas les droits de ses voisins.

Andreï Sakharov

La provocation, quand elle vient de l'artiste, suscite la réflexion.

Élisabeth Badinter

La grâce n'a pas d'âge.

Gérard Bauër

Les hommes très mâles sont toujours flairés par les femmes très femmes.

Hector Talvart

Je hais ceux qui me privent de ma solitude sans pour autant me tenir compagnie.

Irvin D. Yalom

... est pour moi un aimant qui a perdu ses attractions. - Son magnétisme : un nuage qu'on aurait déflogistiqué.

Joseph Joubert

L'humanité est comme un homme qui dort et fait un cauchemar. Ce cauchemar s'appelle l'histoire.

Julien Green

Toute hauteur affectée est puérile ; si elle se fonde sur des titres supposés, elle est ridicule ; et si ces titres sont frivoles, elle est basse : le caractère de la vraie hauteur est d'être toujours à sa place.

Luc de Clapiers

Quand je n'ai plus rien eu a perdre, j'ai tout obtenu.

Paulo Coelho

Chaque fois que je trouve un chat dans la rue je l'adopte.

Penélope Cruz

Quand le troupeau a fini par se calmer, il ne faut pas lui donner des raisons de remuer de nouveau.

Philippe Claudel

Il y avait, près de la serre, un emplacement aménagé pour le tennis.

Valery Larbaud

Donnez des mots à la douleur : le malheur qui ne parle pas, chuchote au fond du coeur qui n'en peut plus, jusqu'à ce qu'il le brise.

William Shakespeare