Citation de Emile Zola

← Précédent Suivant →
J'aurais trop de chagrin à penser que tu te martyrises, dans ton trou de bête blessée. Jeux te guérir, je veux te sauver.... - Emile Zola

J'aurais trop de chagrin à penser que tu te martyrises, dans ton trou de bête blessée. Jeux te guérir, je veux te sauver.

Emile Zola

Toutes les citations de Emile Zola →

Explorer les Citations

Vivre d'abord, philosopher ensuite.

Anonyme

Il est indigne de Dieu de se joindre à l'homme misérable ; mais il n'est pas indigne de Dieu de le tirer de sa misère.

Blaise Pascal

Quel est votre secret, à vous socialistes, pour que l'exécutif renforcé serve la démocratie et ne la perde pas ? Sur ce point, comment interprétez-vous l'Histoire ? Je m'y suis toujours achoppé, je l'avoue.

François Mauriac

Lorsque la bêtise gifle l'intelligence alors, l'intelligence a le droit de se comporter bêtement.

Gilbert Sinoué

La vie n'a aucun sens, mais elle a une direction : le cimetière.

Grégoire Lacroix

On joue avec son corps, on lutte avec ses tripes, on gagne avec sa tête.

Luis Fernandez

Toute chose tend à s'affadir. Le choc amoureux devient ennui conjugal, l'énergie révolutionnaire se mue en parti politique institutionnel, le dynamisme juvénile des commencements s'inverse en répétitivité monotone.

Michel Maffesoli

N'ayez pas peur des fausses notes... ça n'existe pas !

Miles Davis

Un fonds de modestie rapporte un très gros intérêt.

Montesquieu

Sans la liberté de blâmer, il n'est point d'éloge flatteur ; et qu'il n'y a que les petits hommes qui redoutent les petits écrits.

Pierre-Augustin Caron

Etre homme d'église, n'est pas toujours être homme de Dieu.

Proverbe Anglais

Les échecs, c'est moi.

Salvador Dalí

Mes lettres sont des boomerangs. Elles me sont toutes revenues. J'ai profité de la nuit pour glisser des mots sous ta porte. ils sont restés lettre morte.

Sébastien Spitzer

On n'échappe pas éternellement aux ténèbres. Elles nous laissent juste un répit, parfois.

Sire Cedric

Ce qu'il y a de terrible avec l'argent gagné au jeu, c'est qu'on le dépense d'abord et qu'on le reperd après.

Tristan Bernard