Pour en terminer avec mes "silences", j'avoue qu'il m'est difficile de répondre à des questions banales sinon idiotes. L'exemple typique est quand, au retour d'une course, on me demande : "Alors, content d'être premier ?" Que dire d'autre que : "Oui" ? Je ne connais pas de vainqueur que la victoire ait mis d'humeur chagrine.