Citation de Erich Maria Remarque

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Je me lève, je suis très calme. Les mois et les années peuvent venir. Ils ne me prendront plus rien. Ils ne peuvent plus rien m... - Erich Maria Remarque

Je me lève, je suis très calme. Les mois et les années peuvent venir. Ils ne me prendront plus rien. Ils ne peuvent plus rien me prendre. Je suis si seul et si dénué d'espérance que je peux les accueillir sans crainte.

Erich Maria Remarque

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Une colère réprimée peut aussi bien empoisonner une relation que les paroles les plus cruelles.

Anonyme

Ceux qui se connaissent vraiment n'ont pas besoin de correspondre. Lorsqu'ils se rencontrent à nouveau après plusieurs années, leur amitié est restée intacte.

Deng Ming-Dao

Un homme qui change d'avis pour être d'accord avec une femme lui donne la plus belle preuve d'amour.

Erri De Luca

Mieux que n'importe quel médecin au monde, la Nature sait ce qui nous convient.

Georges Courteline

Il ne faut se fier ni au temps ni aux femmes.

Honoré de Balzac

On parle souvent de sacrifier la liberté de chacun à la liberté collective. Stupidité ! Il n'y a pas de liberté collective : il n'y a que des libertés individuelles.

Jean-Charles Harvey

La meilleure façon de faire du tort à un riche, c'est de le ruiner.

John Landis

La clarté seule devrait suffire pour rendre heureux.

Joseph Joubert

La tempête approche et elle sera pour eux, comme toujours, les miséreux aux vies usées, et pour eux seuls.

Laurent Gaudé

C'est plus qu'impossible, c'est difficile.

Louis Scutenaire

Nous devons tous nous traiter avec dignité humaine et respect.

Madonna

Vingt mille francs par mois, quand j'étais mannequin, je les gagnais rien qu'avec l'affure des toilettes.

Marcel Aymé

Je me sens dans une phase de renaissance, de libération. J'ai sorti ma rage, mon amour, tout ce que j'avais dans ces chansons

Marina Kaye

Le plus petit doit se garder de s'en prendre au plus gros.

Proverbe Français

Mon chant a dépouillé ses parures. Je n'y mets plus d'orgueil. Les ornements gêneraient notre union ; ils s'interposeraient entre nous, et le bruit de leur froissement viendrait à couvrir tes murmures.

Rabindranath Tagore