Citation de Ernest Renan

← Précédent Suivant →
Je laissai ainsi bifurquer mon premier amour, comme plus tard je laissai bifurquer ma politique, de la façon la plus maladroite.... - Ernest Renan

Je laissai ainsi bifurquer mon premier amour, comme plus tard je laissai bifurquer ma politique, de la façon la plus maladroite.

Ernest Renan

Toutes les citations de Ernest Renan →

Explorer les Citations

La vie ne va nulle part, la vie est un cauchemar de la matière.

Fernando Vallejo

Les chaos est le nom que l'on donne à tout ce qui produit la confusion dans notre esprit.

George Santayana

Il existe des trahisons qui ne peuvent se pardonner, ni même s'expliquer de quelque manière que ce soit.

Henning Mankell

Le Français fit ce qu'en toute occasion font les Français, il se mit à rire.

Honoré de Balzac

Léonard de Vinci eut la fortune de dire presque tout dans l'idiome international du graphisme. Ses textes s'accompagnent de dessins explicatifs.

Jean Cocteau

L'expérience est un médecin qui n'arrive qu'après la maladie.

Leysenne

Les hommes sont faits les uns pour les autres ; instruis-les donc ou supporte-les.

Marc Aurèle

Arsenic : arme adroite pour faire passer l'arme à gauche.

Martial Villemin

Le "Qu'est-ce que ça veut dire ?" est le reproche qu'on fait au poète qui n'a pas su vous émouvoir.

Max Jacob

Pour qu'il y ait violence, il faut être au moins deux : celui qui donne le coup et celui qui le reçoit. Chacun doit poser les limites de ce qu'il accepte de subir. En toutes choses.

Mikhaïl W. Ramseier

Il est contradictoire, contraire à l'esprit scientifique, que les sciences s'érigent en instance dogmaticienne de fait.

Pierre Legendre

Il ne faut pas que le pot de terre S'accouple avec le pot de fer.

Proverbe Français

Ce n'est pas tous les jours Pâques.

Proverbe Français

La table étant préparée, la querelle cesse.

Talmud

La plupart de nos professeurs sont des créatures minables, qui semblent s'être donné pour tâche de barricader la vie de leurs élèves et de la transformer, finalement et définitivement, en une épouvantable déprime.

Thomas Bernhard