Citation de Eschyle

← Précédent Suivant →
Pleurer et gémir sur ses malheurs, quand on doit tirer des larmes de ceux qui vous écoutent, mérite qu'on s'y arrête.... - Eschyle

Pleurer et gémir sur ses malheurs, quand on doit tirer des larmes de ceux qui vous écoutent, mérite qu'on s'y arrête.

Eschyle

Toutes les citations de Eschyle →

Explorer les Citations

Canon : Instrument utilisé dans la rectification des frontières nationales.

Ambrose Bierce

Cherche la réponse en ce même lieu d'où t'est venue la question.

Anonyme

Ils aspiraient à pleins poumons la fraîcheur de l'air.

Gustave Flaubert

Variable à l'infini malgré les siècles et les travaux des grands cuisiniers, - la gourmandise réside dans l'exquise délicatesse du palais et dans la multiple subtilité du goût, que peut seule posséder et comprendre une âme de sensuel cent fois raffiné.

Guy de Maupassant

J'en ai fini avec les hommes... Je vais être seule. Je n'ai pas de chance avec les relations. Je ne pense pas être faite pour le mariage.

Halle Berry

Involontairement je comparais entre elles ces deux existences, celle du comte, tout action, tout agitation, tout émotion ; celle de la comtese, tout passivité, tout inactivité, tout immobilité.

Honoré de Balzac

Dans la vie courante (qui est la nôtre) il n'y a vraiment jamais de quoi rire à ventre déboutonné, notre corps n'en a pas l'habitude (tandis que ricaner, on sait le faire).

Jean Giono

La partie carrée est la quadrature du cercle vicieux.

Jean Yanne

Les hommes, ces Narcisses, se mirent toujours un peu eux-mêmes dans les admirations qu'ils ont.

Jules Barbey d'Aurevilly

La certitude de n'être pas seul qui console même dans un cimetière.

Jules Renard

C'est là un livre dont on dit : Lisons-le tout de suite pour n'avoir pas à le lire plus tard.

Jules Renard

Elle adorait ces hommes timides, réservés, mais qu'on devine consumés d'une passion intérieur. Le charme slave, du moins, c'est ainsi qu'elle imaginait les hommes de l'Est, ceux aux destins tragiques des romans de Tolstoï ou des pièces de Tchekhov.

Michel Bussi

Il y a dans le dribble quelque chose de très beau, un esthétisme fou, mais il y aussi une vraie violence. Le dribble est à l'image du Brésil. Comme la société où il a émergé, c'est un geste sans cesse sur le point de rupture.

Olivier Guez

Les voyages, ça sert surtout à embêter les autres une fois qu'on est revenu !

Sacha Guitry

Les personnages que je joue sont généralement des hommes de peu mots, qui se communiquent de maniere non verbale.

Viggo Mortensen