Citation de Ethan Et Joel Coen

← Précédent
N'oublie jamais que la femme est le plus diabolique instrument de torture jamais inventé pour nous mettre au désespoir.... - Ethan Et Joel Coen

N'oublie jamais que la femme est le plus diabolique instrument de torture jamais inventé pour nous mettre au désespoir.

Ethan Et Joel Coen

Toutes les citations de Ethan Et Joel Coen →

Explorer les Citations

La guichetière - car à Bachelor's-Prison, les guichetiers sont des guichetières - m'inscrit froidement sur un registre et me fait conduire dans une cellule meublée d'un lit, d'une table et d'une chaise.

Albert Robida

Dans les jours qui suivirent sa disparition, le moral de Constantinople fut au plus bas. Se réjouir est un signe de bonne santé. Mais sans bonne nouvelle, le peuple eut beau se forcer, son humeur s'assombrissait. Les querelles se déclenchaient.

Cathy Dutruch

Tout ce que j'aime ou dont je me soucie n'est qu'illusion, et cependant, à mes yeux en tout cas, tout ce qui vaut la peine d'être vécu se résume à ce charme-là.

Donna Tartt

On ne sauve pas les vieilles maisons, dans lesquelles on met la pioche, sous prétexte de les réparer. On ne fait qu'augmenter les lézardes.

Emile Zola

Ne jamais confondre mouvement et action.

Ernest Hemingway

Il est des choses que les mots ne peuvent expliquer. Il faut les absorber sans l'aide des mots.

Frank Herbert

Je voudrais dire encore un mot à l'adresse des oreilles exquises : ce que, quant à moi, je demande véritablement à la musique. Qu'elle soit de belle humeur, désinvolte, tendre et profonde comme un après-midi d'octobre.

Friedrich Nietzsche

Il n'est excusable qu'à l'amour d'aimer ce qu'il n'estime pas.

Geneviève Thiroux d'Arconville

Le secret du succès est d'offenser le plus grand nombre possible de gens.

George Bernard Shaw

Que n'osé-je lui raconter de même toutes les petites anecdotes de cet heureux âge, qui me font encore tressaillir d'aise quand je me les rappelle.

Jean-Jacques Rousseau

Ce que je pense de Nietzsche ? Il a bien des lettres inutiles dans son nom.

Jules Renard

Les beaux livres sont écrits dans une sorte de langue étrangère. Sous chaque mot, chacun de nous met son sens ou du moins son image, qui est souvent un contresens. Mais dans les beaux livres, tous les contresens qu'on fait sont beaux.

Marcel Proust

Incapable de faire des choix j'suis comme mes figurines, inutile, j'reste chez moi, j'baisse les bras.

Orelsan

Ce n'est qu'une question de mots. Il n'y en a jamais eu d'autres en France.

Robert de Flers

... cette faculté des adultes d'être convaincus de n'importe quoi par un air de supériorité silencieuse.

William Faulkner