Le progrès matériel favorise toutes les autres formes de progrès.
Eugène Cloutier
Le meilleur programme anti-pauvreté est une éducation de classe mondiale.
Barack Obama
Le déplacement majestueux de l'iceberg est dû au fait qu'un neuvième seulement se laisse voir à la surface de l'eau.
Ernest Hemingway
A l'automne des saisons, ce sont les feuilles qui meurent. A l'automne de la vie, ce sont nos souvenirs.
Flor Des Dunes
Vivre debout, c'est vivre libre.
Jean Gastaldi
Nous n'avons pas de la tolérance, mais nous avons, à l'égart de toutes les doctrines, le respect de la personnalité humaine et de l'esprit qui s'y développe.
Jean Jaurès
Devancer le temps en pensée nous dote de trois pouvoirs distincts : prévoir, vouloir, se préparer.
Jean-Louis Servan-Schreiber
Le travail est la pire des drogues : ceux qui en ont en crèvent, ceux qui en manquent en crèvent aussi.
Jean-Marie Gourio
Pourquoi pour remonter la pente je n'peux pas remonter le temps ? Cette idée est si absurde, qu'elle est d'emblée décevante.
Lonepsi
Je suis contre tout le monde, par définition et par esprit de contradiction. Si l'on est de mon avis, j'en change aussitôt. Je ne veux être d'accord avec personne, car je n'aime personne assez pour être d'accord avec lui.
Michel del Castillo
Un chroniqueur gastronomique est digne de cette appellation lorsque la verve qu'il met à évoquer les mets dépasse le temps de leur cuisson.
Philippe Bouvard
La liberté n'est pas au commencement, mais à la fin. La liberté est le fruit du bon ordre.
Pierre Gaxotte
Mieux vaut voir les faux amis en terre qu'en pré.
Plaute
Dix langues qui affirment ne valent pas deux yeux qui voient, deux yeux qui voient ne valent pas une main qui palpe.
Proverbe Thaï
Peut pas s'attendre à ce que la passion dure toujours. Mais comment savoir si la passion a évolué en quelque chose de durable et d'agréable et pas en un truc horrible genre on-ne-se-plaît-plus-merci-beaucoup...
Sophie Kinsella
Ces plaisirs violents ont des fins violentes. Dans leurs excès ils meurent, tels la poudre et le feu que leurs baisers consument.
William Shakespeare