Citation de Eugène Ionesco

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Si écrire, agir, c'est une manifestation de l'orgueil, ne pas vouloir écrire, agir, faire, ce peut être encore de l'orgueil.... - Eugène Ionesco

Si écrire, agir, c'est une manifestation de l'orgueil, ne pas vouloir écrire, agir, faire, ce peut être encore de l'orgueil.

Eugène Ionesco

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Anonyme

Je ne suis pas d'une beauté suprême. Mais faut pas s'fier à ce qu'on voit.

Anonyme

Un pareil homme avait-il réellement le nez au milieu du visage et était-il tout à fait conforme comme le reste de ses semblables ?

Charles Baudelaire

La mer n'a pas sitôt posé une vague sur le rivage qu'elle court en chercher une autre.

Félix Leclerc

L'âge de nos pères ne vaut pas celui de nos aïeux.

Horace

Le bien n'est bien qu'en tant que l'on s'en peut défaire ; Sans cela, c'est un mal.

Jean de La Fontaine

Il commande au soleil d'animer la nature, et la lumière est un don de ses mains ; mais sa loi sainte, sa loi pure est le plus riche don qu'il ait fait aux humains.

Jean Racine

Celui qui tuerait pour cause de justice, ou pour une cause qu'il croit juste, est libre de faute.

Jorge Luis Borges

Les écrivains laissent quelquefois des oeuvres posthumes ; les peintres laissent presque toujours des oeuvres... apocryphes...

Léon Larguier

La morale purement humaine a été traitée plus utilement et plus habilement par les anciens, qu'elle ne l'est maintenant par nos philosophes.

Luc de Clapiers

Admirable ambiguïté de la phorie qui veut qu'on possède et maîtrise dans la mesure où l'on sert et s'abnie !

Michel Tournier

Le crime contre l'humanité est la borne commune à toutes les cultures. La mission des droits de l'homme est aussi de préserver cette humanité à venir, ces générations futures, pour que cette humanité reste promesse.

Mireille Delmas-Marty

Grand ministre ! Que n'es-tu né de mon temps ! Je te donnerais la moitié de mon empire pour m'apprendre à gouverner l'autre !

Pierre le Grand

Ô vent ! Pourquoi as-tu emmené la femme que j'aime ? Apporte s'il te plaît, ô vent de tempête, La femme que j'affectionne. Tempête ! Apporte la pluie, Apporte l'orage, Mais surtout, Ô vent, apporte-la, elle, la femme que j'aime.

Sivi le poète

Et je sais à nouveau que dans ce vaste monde - Le jour et la nuit ne résultent pas du seul flux des heures, - Mais qu'il y a des hommes qui sont tels le soleil, et devant - Qui les autres ne sont rien que des ombres...

Stefan Zweig