Citation de Fanny Taillandier

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Quiconque veut réussir sa vie sait qu'un enfant représente une dépense considérable en termes financiers comme personnels.... - Fanny Taillandier

Quiconque veut réussir sa vie sait qu'un enfant représente une dépense considérable en termes financiers comme personnels.

Fanny Taillandier

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Ayez de grandes attentes et de grandes choses se produiront.

Art Fettig

Écrire des drames, c'est tout de même ce qu'il y a de plus intéressant. Pareil à un petit dieu, on sonde les coeurs et les reins..., on juge..., on punit, on absout et on récompense.

August Strindberg

L'herbe qui tue la gazelle se trouve sous son sabot.

Camara Nangala

Si un homme se justifie de Dieu, le temps qu'il prend à sa prière pour travailler est encore prière.

Cheikh Hamidou Kane

Il faut maudire les morts en attendant de les retrouver. Tous ces salopards tant aimés qui n'ont pas pris le temps de nous attendre.

Daniel Pennac

Je prenais avec les femmes, par timidité et par orgueil, ce ton supérieur et doctoral qu'elles exècrent

François Mauriac

Quand on est jeune, on vénère ou on méprise sans encore cet art de la nuance qui forme le meilleur acquis de la vie, et l'on a comme de juste à payer cher pour n'avoir su opposer aux hommes et aux choses qu'un oui ou un non.

Friedrich Nietzsche

L'humour est une façon de remettre en question les choses qu'on considère comme intouchables.

Jean-Louis Bory

Les incorruptibles n'ont pas de prix : ils ont un tarif.

José Artur

Les vieillards sont la majesté du peuple.

Joseph Joubert

Un groupe de Français intelligents, en ce temps tout pratique, devrait afficher ce programme, aux prochaines élections.

Les frères Goncourt

Combien est rare un coeur de l'honneur seul épris !

Népomucène Lemercier

Le seul charme du passé, c'est qu'il est le passé.

Oscar Wilde

Hasard ! dieu méconnu ! les Anciens t'appelaient destin ! nos gens te donnent un autre nom...

Pierre-Augustin Caron

J'ai caressé l'éternité j'ai cru en elle et dans le vif silence de la vigne j'ai enterré le souvenir et l'amertume.

Tristan Tzara