Et si l'on a pu dire enfin que le romantisme avait pris en tout le contre-pied du classicisme, la grande raison en est que le classicisme avait fait de l'impersonnalité de l'oeuvre d'art l'une des conditions de sa perfection.
Dans un million d'années, il y aura toujours un jeune homme pour dire à une jeune fille : je t'aime.