Citation de Fiodor Dostoïevski

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La même société qui abhorre le bourreau professionnel n'éprouve aucun dégoût pour le bourreau gentleman.... - Fiodor Dostoïevski

La même société qui abhorre le bourreau professionnel n'éprouve aucun dégoût pour le bourreau gentleman.

Fiodor Dostoïevski

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Le propre du travail, c'est d'être forcé.

Alain

Le choix c'est l'absence de liberté.

Anthony Fernandez

Et l'Infini terrible effara ton oeil bleu !

Arthur Rimbaud

Dieu ignore les singuliers.

Averroès

Il ne suffit pas d'être le roi de France pour le menu peuple de France et pour les barons français. Et il ne suffit pas d'être saint Louis devant Dieu.

Charles Péguy

Que jamais plus grande folle que Jeanne Eyre n'avait marché sur la terre, que jamais idiote plus fantasque ne s'était bercée de doux mensonges et n'avait mieux avalé un poison comme si c'eût été du nectar.

Charlotte Brontë

Un seul dessein, en son esprit, se formulait avec netteté : exaspérer le père Soupe par le procédé habituel, le faire mousser peu à peu, jusqu'à ce que, l'ayant poussé à bout, il eût enfin obtenu de lui la libre jouissance du bureau.

Georges Courteline

Les guerres modernes sont des guerres d'industriels beaucoup plus que de généraux.

Gustave Le Bon

Ses favoris épars et grisonnants s'appelaient en 1799 des nageoires.

Honoré de Balzac

Chascun de nous a en soy-mesme les thresors de contentement et de mescontentement.

Jacques Amyot

Pour fuir les hommes faut-il donc les haïr ?

Lord Byron

Une chose dont je suis fier : je suis vraiment capable de rire de moi-même.

Penélope Cruz

Il est facile d'apprendre mille disciplines, mais il est difficile d'en connaître une à fond.

Proverbe Chinois

Un bonheur que rien n'a entamé succombe à la moindre atteinte ; mais quand on doit se battre contre les difficultés incessantes, on s'aguerrit dans l'épreuve, on résiste à n'importe quels maux, et même si l'on trébuche, on lutte encore à genoux.

Sénèque

Fouille mon coeur, ce coeur que tu dédaignes. Et, qui pourtant, n'est peuplé que de toi. Et tu verras, mon amour, que tu règnes. Sur un pays dont nul homme n'est roi !

Théophile Gautier