Citation de Fiodor Dostoïevski

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Aimer un être, c'est le voir comme Dieu a voulu qu'il soit.... - Fiodor Dostoïevski

Aimer un être, c'est le voir comme Dieu a voulu qu'il soit.

Fiodor Dostoïevski

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Quand on sort d'un pénitencier on se réfugie plus volontiers dans un bordel que dans une cathédrale.

Achille Chavée

Je songeais à cette obligation à laquelle nul de nous ne peut échapper.

Anatole France

Ayant pris conscience de ses potentialités, chacun a la possibilité de travailler à devenir.

Anonyme

Il faut continuer à se moquer de la religion musulmane jusqu'à ce que l'islam soit aussi banalisé que le catholicisme

Charb

Ce ne sont pas les études de marché sur la lampe à huile qui ont permis l'invention de l'électricité.

Daniel Jouve

Si l'amitié est le mouroir de l'amour, je hais l'amitié.

Éric-Emmanuel Schmitt

C'était une bécasse arrivée la nuit ; elle montait en battant les branches et se glissait entre les rameaux des grands arbres nus.

Eugène Fromentin

Le don de faire des êtres humains manque à ce génie. S'il avait eu ce don-là, Hugo aurait dépassé Shakespeare.

Gustave Flaubert

Waddington a raison : L'homme est un animal porté à croire. Il lui faut sécréter de la certitude comme le colimaçon de la coquille : pour s'enfermer dedans.

Hervé Bazin

Il mourut comme était mort Fénelon, et comme tout évêque doit mourir, sans argent et sans dettes.

Jean Le Rond d'Alembert

La force du sadisme, l'attrait qu'il présente, gît tout entier dans la jouissance prohibée de transférer à Satan les hommages et les prières qu'on doit à Dieu...

Joris-Karl Huysmans

Pour trouver la Vérité en tant que Dieu, la voie inévitable est l'Amour, c'est-à-dire la non-violence.

Mahatma Gandhi

La nature n'aime rien tant que de changer ce qui est, pour le remplacer par ce qui lui ressemble.

Marc Aurèle

La pensée n'est rien d'intérieur, elle n'existe pas hors du monde et hors des mots.

Maurice Merleau-Ponty

Nous vivons des myriades de secondes et, pourtant, il n'y en a jamais qu'une, une seule, qui met en ébulition tout notre monde intérieur : la seconde où la fleur interne, déjà abreuvée de tous les sucs, réalise comme un éclair sa cristallisation.

Stefan Zweig