Améliorez le présent sans faire la satire du passé.
Francis Bacon
Il est du devoir des hommes politiques de parler : quand ils ne parlent pas, on s'imagine qu'ils pensent.
André Frossard
La peur est un cri, la terreur est un murmure.
Anonyme
Dans le dictionnaire de l'Académie, on ne trouve pas ce qu'on ne sait point ; mais on n'y trouve pas ce qu'on sait.
Antoine de Rivarol
Il est bon, plus souvent qu'on ne pense, de savoir ne pas avoir d'esprit.
Chrétien Guillaume de Malesherbes
L'enseignement est un autre soleil pour ceux qui le reçoivent.
Héraclite
En fait l'important ne serait pas de réussir sa vie, mais de rater sa mort.
Jean Yanne
La politesse est à la bonté ce que les paroles sont à la pensée. Elle n'agit pas seulement sur les manières, mais sur l'esprit et sur le coeur ; elle rend modérés et doux tous les sentiments, toutes les opinions et toutes les paroles.
Joseph Joubert
Etre naturel, dans les arts, c'est être sincère.
Dites à une femme deux ou trois mots qu'elle ne comprenne pas, d'aspect profond. Ils la déroutent, l'inquiètent, la rendent anxieuse, la forcent à réfléchir et vous la ramènent consciente de son infériorité, sans défense. Car le reste est un jeu d'enfant.
Jules Renard
Tu peux quitter l'enfance, ton enfance ne te quitte pas.
Julien Clerc
Le bonheur est une manière d'être, or les manières s'apprennent.
Matthieu Ricard
Même les défaites ont leur gloire, même la gloire est une défaite : ça dépend de l'interprète, du pays, du regard, du pouvoir. L'histoire appartient à la plus grosse gâchette, et pour celui qui objecte la sienne est comme un bobard.
Rocé
Hitler, ne m'intéressait qu'en tant qu'objet de mon délire et que parce qu'il m'apparaissait d'une valeur catastrophique incomparable.
Salvador Dalí
La pureté, cette vertu qui met de la joie dans la douleur.
Thérèse Tardif
Le bonheur est insaisissable. Il est là sans qu'on le sache. C'est seulement quand quelque chose de cataclysmique nous tombe dessus, quelque chose qui détruit la placidité de notre ennuyeuse routine, que nous prenons conscience de ce que nous avions et de ce que nous avons perdu.
V. S. Naipaul