Citation de Franck Bouysse

← Précédent Suivant →
Une mère, c'est fabriqué pour s'inquiéter, y a rien à faire contre.... - Franck Bouysse

Une mère, c'est fabriqué pour s'inquiéter, y a rien à faire contre.

Franck Bouysse

Toutes les citations de Franck Bouysse →

Explorer les Citations

Comme pour la prière il n'y a pas de distance pour l'amitié.

Anonyme

Les joies les plus pures sont les plus extrêmes.

Björk

Dans la vie on prend toujours le mauvais chemin au bon moment.

Dany Laferrière

Les rêves sont des mouvements secrets qu'on ne met pas assez à leur vraie place.

Donatien Alphonse François de Sade

Quand on défie la mort on ne gagne qu'en perdant définitivement.

Elsa Triolet

Le corps peut avoir peur et trembler, pendant que l'esprit reste calme et courageux, et vice versa.

Honoré de Balzac

Un ménage est bien accordé où les deux époux ressentent en même temps le même besoin de la querelle.

Jean Rostand

Chacun de nous est, successivement, non pas un, mais plusieurs. Et ces personnalités successives, qui émergent les unes des autres, présentent le plus souvent entre elles les contrastes les plus étranges et les plus saisissants.

José Enrique Rodó

Sans doute n'ignorait-elle pas qu'on la jugeait durement et que plusieurs des personnes qui lui parlaient avec douceur, lorsqu'elle les rencontrait, ne se faisaient pas faute de la rudoyer dans leurs conversations entre elles.

Julien Green

Ce prêtre bronzé d'abord à des expéditions de brigands, plus tard missionnaire à travers les peuplades sauvages.

Les frères Goncourt

Je connaîs un analphabète qui est mort après avoir cherché toute sa vie l'amour avec un grand H

Marc Escayrol

Les bons souvenirs durent longtemps, les mauvais plus encore.

Proverbe Tchèque

A force d'annoncer une chose, elle finit par arriver.

Roch Carrier

Dites aux gens ordinaires ce qu'ils veulent entendre.

Sun Tzu

L'avenir se brouille devant ses yeux et il éprouve, il éprouve alors pour la première fois cet implacable sentiment de défaite qui plus tard devait si souvent l'envahir et auquel il allait finir par succomber.

W. G. Sebald