Citation de Franck Bouysse

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Tant de fois il a rêvé d'ailleurs, au fil des pages froissées dans de fiévreuses nuits dévalant des jours sans frissons.... - Franck Bouysse

Tant de fois il a rêvé d'ailleurs, au fil des pages froissées dans de fiévreuses nuits dévalant des jours sans frissons.

Franck Bouysse

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Tout être humain a un potentiel de créativité étouffé par les tâches répétitives, par la nécessité de produire, toujours produire et ensuite consommer. Quand ce cycle ne fonctionne plus, c'est le vide.

Claire Gallois

Tout au long de sa vie, ce qui a le plus effrayé Lila, c'est que les gens, encore plus que les choses, pouvaient perdre leurs contours et se répandre sans plus aucune forme.

Elena Ferrante

Le plaisir de se calomnier vaut de beaucoup celui d'être calomnié.

Emil Cioran

Pop star, c'est fatigant. Je ne suis pas très doué pour jouer les célébrités.

Fatboy Slim

Le théâtre est une école de larmes et de rire, une tribune libre où l'on peut défendre des morales anciennes ou équivoques et dégager, au moyen d'exemples vivants, les lois éternelles du coeur et des sentiments de l'homme.

Federico Garcia Lorca

Pourquoi le monde a-t-il des lois, Sinon pour qu'on les foule aux pieds ?

Frank Wedekind

Bien joli partir, mais qui rapporte l'argent pour le ménage, qui paye l'écolage des gosses ?

Germain Clavien

Etait-ce pour taire cela que mes mots s'étaient taris ?

Grégoire Delacourt

Se réunir est un début ; rester ensemble est un progrès ; travailler ensemble est la réussite.

Henry Ford

Il y a une étroite relation entre une conscience molle, une pensée molle et une langue molle.

Jacques Grand'Maison

La nourrice met un morceau dans la bouche de l'enfant et deux dans la sienne.

James Freeman Clarke

Celui qui rougit commence à se corriger.

Joseph Joubert

La justice de Dieu, c'est une charrette tirée par un boeuf

Proverbe Haïtiens

Voyageur ! pour connaître les meurs d'un peuple, regardes à ses aliments.

Pythagore

C'est une erreur de croire que la passion, quand elle est heureuse et pure, conduit l'homme à un état de perfection ; elle le conduit simplement à un état d'oubli.

Victor Hugo