Mes chercheurs, dans le livre, je les ai appelés le "GIGN des microbes". Et c'est ce qui se passe véritablement. Il y a des équipes qui veillent et, dès qu'un cas s'annonce, ils se rendent chez les gens, rencontrent leurs contacts, les isolent. Comme ce que l'on a vécu au début de l'épidémie du coronavirus, avec la recherche du patient zéro.