Citation de François Cavanna

← Précédent Suivant →
Rien ne me fait plus chier que bonjour-bonsoir et l'idée que le voisin puisse venir m'emprunter le sel. Je préférerais acheter une... - François Cavanna

Rien ne me fait plus chier que bonjour-bonsoir et l'idée que le voisin puisse venir m'emprunter le sel. Je préférerais acheter une énorme boîte à sel et l'accrocher à ma porte, à l'extérieur.

François Cavanna

Toutes les citations de François Cavanna →

Explorer les Citations

Procréer, causer, lutter, vivre, cela se fait à deux. Mourir, non. Tout seul. Comme un grand.

André Wurmser

Nature se dit, au sens premier, de la génération de ce qui croit, comme si on allongeait, en la prolongeant, la voyelle y de Physis.

Aristote

Chacun est enfermé dans sa conscience comme dans sa peau.

Arthur Schopenhauer

Que les hommes sachent bien qu'ils sont des hommes.

Bernard de Clairvaux

On m'a demandé ... qui j'aurais plaisir à inviter à un dîner de cons. C'est le visage de François Bayrou qui est apparu. Mais avec sourire et amitié.

Christine Boutin

... beau comme le tremblement des mains dans l'alcoolisme...

Comte de Lautréamont

Ils veulent étendre de leurs bouches la lumière d'Allah, alors qu'Allah parachèvera Sa lumière en dépit de l'aversion des mécréants.

Coran

Un ordinateur, c'est comme une ville. Chaque fichier est une maison, avec une adresse unique.

Jean-Christophe Grangé

Nul homme sage ne souhaite jamais être plus jeune.

Jonathan Swift

Tu m'avais dit qu'en son temps le chagrin de l'absence s'efface devant la mémoire des souvenirs heureux. Quand cesseras-tu de me manquer autant ?

Marc Levy

Deux oiseaux habitaient, l'un des marais, l'autre des champs. L'habitant des marais s'étonnait que son compagnon des champs pût vivre dans un endroit sans eau ; l'oiseau des champs ne comprenait pas, de son côté, que l'on pût vivre dans un marais.

Nikita Khrouchtchev

Bon est le métier dont on peut vivre.

Proverbe Français

Le seul vainqueur de la guerre de 1812 c'est Tchaïkovsky.

Soloman Short

On atomise les salariés, on les badge, on les manage, on délocalise, on restructure, et finalement on les coupe de leur puissance propre.

Vincent Cespedes

Pour être humain faut-il absolument ressembler au reste de la terre ?

Yves Dupré