Citation de François de La Rochefoucauld

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Quant on a le coeur encore agité par les restes d'une passion, on est plus près d'en prendre une nouvelle que quand on... - François de La Rochefoucauld

Quant on a le coeur encore agité par les restes d'une passion, on est plus près d'en prendre une nouvelle que quand on est entièrement guéri.

François de La Rochefoucauld

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Je notai que cinq bouteilles se trouvaient en voie de disparition.

Boris Vian

Avec Wolinski on veut se bagarrer pour que la presse papier vive. Nous deux, on continuera encore longtemps à faire chier le monde.

Cabu

Comment s'étaient-ils rencontrés ? Par hasard, comme tout le monde. Comment s'appelaient-ils ? Que vous importe ? D'où venaient-ils ? Du lieu le plus prochain. Où allaient-ils ? Est-ce qu'on sait où l'on va ?

Denis Diderot

A l'heure des bilans tu regretteras moins tes égarements que tes renoncements dictés par la prudence ou par la peur.

Denis Tillinac

L'amour a son blason.

Honoré de Balzac

La justice est souvent le masque du courroux.

Jean de Rotrou

Tu sais, la beauté est là où on veut bien la voir !

Katarina Mazetti

Seul celui qui a totalement accepté la solitude peut prétendre être accompagné.

Lorette Nobécourt

Des nombreux grains d'encens jetés sur le même autel, l'un est tombé le premier, un autre tombera le dernier et cela n'a pas d'importance.

Marc Aurèle

Rayon de braquage : Zone de banlieue où il est dangereux de garer son véhicule si on ne veut rien se faire piquer.

Marc Escayrol

Une oeuvre d'art, c'est le moyen d'une âme.

Maurice Barrès

Veux-tu que ta vie repose sur une voie solide ? - Veux-tu vivre affranchi de tout chagrin ? - Ne demeure pas un instant sans boire du vin.

Omar Khayyam

Plus on remue la boue, plus elle empeste.

Proverbe Danois

Lune nouvelle au Mardi gras, - Le tonnerre peu après entendras.

Proverbe Français

La caravane, lentement, chemine ; les hommes cramponnés à leur selle ne parlent plus. Bercée au pas égal et balancé de ta monture, tu t'abandonnes, mieux aimée, te laissant délicieusement pénétrer de l'universel embrasement...

Théodore Monod