Citation de François Mitterrand

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"Dis-moi par qui tu fais juger et je te dirai qui tu es". Il n'est pas en politique d'axiome plus sûr.... - François Mitterrand

"Dis-moi par qui tu fais juger et je te dirai qui tu es". Il n'est pas en politique d'axiome plus sûr.

François Mitterrand

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Le plus grand désespoir c'est de pleurer devant un coucher de soleil.

Anonyme

Ces menaces sont intolérables. De toute ma vie, je n'ai jamais cédé aux menaces et je n'ai pas l'intention de commencer maintenant.

Ariel Sharon

Ma mère dit que je n'ai pas ouvert les yeux pendant huit jours après ma naissance, mais quand je l'ai fait, la première chose que j'ai vue était une bague de fiançailles. J'étais accro.

Elizabeth Taylor

"Fleurissez vos dames !" Et, comme on ne vend à cette heure-là qu'en gros, il faudrait avoir beaucoup de dames à fleurir pour acheter de telles bottes de bouquets.

Gérard de Nerval

Le vrai reportage gonzo exige le talent d'un maître journaliste, l'oeil d'un photographe artiste et les couilles en bronze d'un acteur.

Hunter S. Thompson

De tous les moyens de faire sa fortune, le plus court et le meilleur est de mettre les gens à voir clairement leurs intérêts à vous faire du bien.

Jean de La Bruyère

En Corse, c'est l'âne qui porte tout, sauf le deuil.

José Artur

Seuls nos doutes augmentent avec l'âge, et non nos certitudes.

Laszlo Szabo

Moi, je crois aux miracles : il y a même des gens qui se lèvent et qui remarchent après un pélerinage dans l'administration...

Laurent Ruquier

Les sacrifices que l'on fait, les arrangements avec l'existence ne tendent qu'à ce but : se donner du temps.

Madeleine Chapsal

Je t'écris parce que t'écrire, c'est être avec toi.

Philippe Besson

Un ivrogne de plus, un homme de moins.

Proverbe Français

Vous n'êtes pas rasés de près, messieurs. Vous n'auriez pas besoin d'un bon figaro ?

Roger Moore

Le monde est mon pays, - Tous les humains sont mes frères.

Thomas Paine

Que de révélations abstruses, simultanées, balbutiantes, s'obscurcissant par leur foule même, sortes de bégaiements du verbe !

Victor Hugo