Citation de François-René de Chateaubriand

← Précédent Suivant →
Figurez-vous, seigneurs, des plages ablonneuses... Quelquefois seulement des nopals épineux couvrent une petite parti... - François-René de Chateaubriand

Figurez-vous, seigneurs, des plages ablonneuses... Quelquefois seulement des nopals épineux couvrent une petite partie de l'arène sans bornes.

François-René de Chateaubriand

Toutes les citations de François-René de Chateaubriand →

Explorer les Citations

J'ai toujours été mystérieuse. Quelques fois, je ne me comprends pas moi-même...

Aaliyah

L'amour seul est resté, comme une grande image survit seule au réveil dans un songe effacé.

Alphonse de Lamartine

Qu'est-ce qu'un abstinent après tout ? Un faible qui cède à la tentation de se refuser un plaisir.

Ambrose Bierce

"Avoir raison"... Qui donc y tient encore !... Quelques sots.

André Gide

Il y a tant de cons qui croient connaître la littérature, et qui l'enseignent, en plus...

Anonyme

Il faut admettre tout comme possible, mais il faut tout vérifier.

Claude Bernard

La chatte ne fuyait pas à mon approche, mais elle se dérobait comme une anguille, à la seconde juste où j'allais la toucher.

Colette

Tu portes ta carte d'inspecteur sur la figure. Avoir l'air faux-jeton à ce point-là, j'te jure que c'est vraiment de la franchise.

Henri Jeanson

Que l'idéal ne se décolore point en nous, ou le feu sacré de la vie s'éteindra.

Jean Paul

Se fixer des buts dans la vie, c'est s'entortiller dans des chaînes.

Philippe Djian

L'amour est l'état où le bonheur d'une personne est indispensable au vôtre.

Robert A. Heinlein

On est pas anti-islam, on est juste anti-cons.

Siné

Cette idée me sourit. Oui, mais cette effroyable quantité de Je et de Moi ! Il y a de quoi donner de l'humeur au lecteur le plus bénévole. Je et Moi, ce serait, au talent près, comme M. de Chateaubriand, ce roi des égotistes.

Stendhal

Le droit de l'enfant, c'est d'être un homme : ce qui fait l'homme, c'est la lumière ; ce qui fait la lumière c'est l'instruction.

Victor Hugo

Tout aboutit au même abîme universel.

Victor Hugo