Le bonheur n'est pas la simple possession d'argent, elle réside dans la joie de l'accomplissement, dans le frisson de l'effort créateur.
Franklin Roosevelt
La plupart des réalisateurs ont un chef-d'oeuvre par lequel ils sont connus. Kurosawa en a au moins huit ou neuf.
Francis Ford Coppola
Le paradis après tout, c'est ce qu'on estime tel, même s'il représente le purgatoire d'autrui.
Hervé Bazin
Hélas ! Seuls les rosiers ont cette merveilleuse faculté de récupérer leur jeunesse perdue !
J.E. Larivière
Mon public gay a été avec moi dès le début.
Kylie Minogue
Faut comprendre ! On vous explique bien trop de choses ! Voilà le malheur ! Cherchez donc à comprendre ! Faites un effort !
Louis-Ferdinand Céline
Nous sommes bien plus dangereux que des hommes armés. Nous entrons partout, comme l'air qu'on respire. On a raison de se méfier des artistes dans les pays totalitaires.
Macha Méril
Le bourrage de crâne est un mot vide de sens. Le véritable bourrage de crâne, on se le fait à soi-même par l'espérance, qui est une forme de l'instinct de conservation.
Marcel Proust
La différence est dans la façon dont on se voit...
Marion Zimmer Bradley
Les humains nient volontiers le bonheur comme s'ils en avaient honte.
Maurice Toesca
L'aventure a pour moi, le même attrait qu'un réverbère pour un papillon de nuit suicidaire par une froide nuit d'hiver.
Moses Isegawa
Se reconnaître dans une race est le seul moyen de conjurer l'échéance mortelle dont chaque instant nous rapproche.
Paul Guimard
Pour se sentir respectable, il faut respecter les autres.
Pierre Bellemare
L'ambition économique et sociale trahit une sérieuse maladie ophtalmologique. Comment expliquer autrement que l'on puisse voir grandes de viles bassesses humaines telles que l'argent, les apparats et la possession ?
Romain Guilleaumes
On ne vit pas pour être un homme. Souffre. Meurs. - Mais sois ce que tu dois être : un Homme.
Romain Rolland
L'ascenseur était en panne, le couloir plongé dans une obscurité totale, et nous montions à tâtons, nous encourageant mutuellement par nos halètements.
Thomas Bernhard