Citation de Franz-Olivier Giesbert

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Quand l'amour est là, il ne faut pas hésiter et attendre qu'il repasse. Prenez-le dès qu'il se présente et ne le lâchez plus.... - Franz-Olivier Giesbert

Quand l'amour est là, il ne faut pas hésiter et attendre qu'il repasse. Prenez-le dès qu'il se présente et ne le lâchez plus.

Franz-Olivier Giesbert

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Devant moi, ah ! que toute chose s'irise ; que toute beauté se revête et se diapre de mon amour.

André Gide

La sonnette est branchée sur le robinet de la baignoire et le téléphone sur le verrou des toilettes.

Anonyme

Les incrédules sont souvent des paresseux qui ont pris tout de suite leur retraite.

Berthelot Brunet

Je suis le vrai cep et mon Père est le vigneron. Tout sarment qui est en moi et qui ne porte pas de fruit, il le retranche ; et tout sarment qui porte du fruit, il l'émonde afin qu'il porte encore plus de fruit.

Bible

Les oreilles sont le chemin par lequel la voix s'en vient jusqu'au coeur.

Chrétien de Troyes

C'est toujours le deuil d'un voeu, Le dernier vers d'un poème ; Partir, c'est mourir un peu, C'est mourir à ce qu'on aime.

Edmond Haraucourt

L'honneur, c'est comme les coquilles Saint-Jacques : bien lavé, ça ressert.

Frédéric Dard

Il n'y a rien de si utile que d'envelopper les gens de paroles inutiles.

Jean Prévost

La seule chose qu'on ne peut embellir sans qu'elle en périsse, c'est la vérité.

Jean Rostand

98% des adeptes d'une religion le sont par naissance et en fonction d'une filiation. D'où il en ressort que la religion est aussi un phénomène génétique.

Jean-François Kahn

Le poli et le fini est au style ce que le vernis est aux tableaux. Il les conserve, les fait durer, les éternise en quelque sorte.

Joseph Joubert

Le progrès c'est de moins percevoir la douleur de l'existence.

Laurent Seksik

Quand Dieu a créé le dindon, il était saoul.

Michèle Bernier

Puis j'étais entrée dans la quarantaine. Le jeu - le jeu de la séduction - occupait une place si centrale dans ma vie que j'avais de la peine à croire qu'il touchait à sa fin. Et, à l'approche de la cinquantaine, ç'avait été comme si les gradins se vidaient et que je me retrouvais seule au milieu d'une arène déserte.

Nuala O'Faolain

Sommeil qui chante fait trembler les ombres.

Paul Éluard