Citation de Fred Vargas

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Il n'y a pas pire crétins que les hommes qui ne sont même pas capables, de temps à autre, de naître de la dernière pluie !... - Fred Vargas

Il n'y a pas pire crétins que les hommes qui ne sont même pas capables, de temps à autre, de naître de la dernière pluie !

Fred Vargas

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Peu de gens sans rire ont été ; on ne sait nul qui n'ait pleuré.

Anonyme

Je ne parle pas du tout de femmes avec qui que ce soit. Il y a de bonnes qualités chez toutes les femmes.

Clark Gable

La culture vraie consiste à se rappeler les vers et à oublier le nom de l'auteur.

François Cavanna

Quels que soient les tourments que te font endurer les hommes, ils sont le souffle vital de l'humanité.

Gao Xingjian

Je ne saurai peut-être pas Si j'ai suivi le chemin de la folie Ou la voie de mon karma.

Gary Snyder

L'amour est une plante de printemps qui parfume tout de son espoir, même les ruines où il s'accroche.

Gustave Flaubert

Etre amoureux, c'est être semblable à un feu, on brûle, on danse, on explose à l'intérieur.

Jacques Salomé

Un manteau royal va toujours bien. C'est le triomphe de la confection.

Jean Giraudoux

L'oiseau battit des ailes, s'échappa de la main du roi, vola sur la table, où il se mit à becqueter sur le pain et sur les viandes, tantôt dans un plat, et tantôt dans un autre.

Les Mille et Une Nuits

Mes chers, vous voyez, je suis revenu vers vous. Je suis triste ici. La seule chose que je désire, c'est faire des tableaux et encore quelque chose. Ni la Russie impériale, ni la Russie des Soviets n'ont besoin de moi. Je leur suis incompréhensible, étranger.

Marc Chagall

Vivre, c'est s'endetter envers l'avenir.

Massa Makan Diabaté

Le Parlement comprend l'Assemblée nationale et le Sénat qui, de leur côté, font de leur mieux pour comprendre ce qu'on leur dit.

Pierre Dac

On sait la fortune des têtes coiffées du klaft émergeant d'une gaine de cariatide.

Pierre Francastel

A maître généreux On sert, même loin de ses yeux.

Proverbe Allemand

O ma mère et ma nourrice ! Toi dont l'âme protectrice Me fit des jours composés Avec un bonheur si rare, Et qui ne me fus avare Ni de lait ni de baisers !

Théodore de Banville