Citation de Frédéric Dard

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Le fade, il est jamais tout à fait atteignable. Au moment de l'éblouissure tu te rends compte que c'est pas gagné, mais t'espères que... - Frédéric Dard

Le fade, il est jamais tout à fait atteignable. Au moment de l'éblouissure tu te rends compte que c'est pas gagné, mais t'espères que ce le sera la prochaine.

Frédéric Dard

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Nous n'enfantons que des atomes au prix de la réalité des choses.

Blaise Pascal

Quand, les deux yeux fermés, en un chaud soir d'automne, - Je respire l'odeur de ton sein chaleureux, - Je vois se dérouler des rivages heureux - Qu'éblouissent les feux d'un soleil monotone.

Charles Baudelaire

Nos haines valent mieux lorsqu'elles ne quittent pas nos bouches.

Frank Herbert

L'artiste doit regarder la vie comme il l'a fait quand il était enfant. S'il perd cette faculté, il ne peut pas s'exprimer d'une manière originale, c'est-à-dire personnelle.

Henri Matisse

Ce qui importe c'est d'être un joyeux pessimiste.

Jean Giono

L'amour est le moyen inventé par la nature pour vaincre la mort.

Jean Guitton

Personne ne nous montre nos défauts comme un disciple.

Jules Renard

Lubresco, mains aux poches, très rigide, le torse droit, souriait en Empereur.

Louis Calaferte

Se disputer, c'est aussi être ensemble.

Nadine de Rothschild

Le plus dur c'est de le faire, ce n'est pas d'y penser.

Ninho

On dit toujours que le pire, c'est le silence avant ou après une attaque, mais en réalité, c'est beaucoup trop poétique, dit-il. Seuls ceux qui n'ont encore jamais eu dans les oreilles le vrai bruit du combat peuvent avoir une idée pareille.

Norbert Gstrein

La politesse a remplacé la cordialité, lorsqu'on a substitué l'apparence aux vertus.

Pigault-Lebrun

L'amour n'a jamais été pour lui qu'une pathétique expérience de survie.

René Fallet

J'attends la mort avec l'impatience d'une vierge au soir de ces noces : pour passer ma première nuit avec Dieu !

Romano Celli

Amitié, quel mot lépreux ! Chaque jour, et jusqu'à l'écoeurement, les gens l'ont à la bouche, et il est complètement déprécié, au moins aussi déprécié que le mot amour, mortellement piétiné.

Thomas Bernhard