Mesdames, vaut mieux une chiée de types qui posent leur pantalon en votre honneur, qu'un seul qui vous le fait repasser.
Frédéric Dard
Dans la vie c'est marche ou crève.
Ademo
Un homme n'a guère d'autres ennuis que lui-même. Il est toujours à lui-même son plus grand ennemi, par ses faux jugements, par ses vaines craintes, par son désespoir, par les discours déprimants qu'il se tient à lui-même.
Alain
Notre époque, qui préfère les poètes aux philosophes et les enfants aux sages, tend à oublier que la tempérance est une vertu, pour ne plus y voir qu'une hygiène. Pauvre époque, qui ne sait mettre au-dessus des poètes que les médecins !
André Comte-Sponville
Si je me trompe, je suis. Car celui qui n'est pas ne peut être trompé.
Augustin d'Hippone
Pour entendre le sens d'un auteur, il faut accorder tous les passages contraires.
Blaise Pascal
Ceux qui aperçoivent la lumière avant les autres sont condamnés à la poursuivre en dépit des autres.
Christophe Colomb
Permettez-moi de regarder dans vos yeux ! Les yeux d'un homme, c'est un miroir, des lunettes magiques.
Herman Melville
La vie est courte, l'art difficile, précis le bon moment, l'expérience trompeuse, le dénouement difficile.
Hippocrate
Les cailloux n'ont peur de rien. Ils n'ont pas peur de l'orage, de la mort, du soleil, de la mer. Les dents des cachalots déchirent tout, les hommes, les baleines, les navires, mais elles se brisent sur les cailloux.
J. M. G. Le Clézio
Le profane ne songe pas à la somme de jouissance dont il se prive, qui méconnaît ce jeu aux ressources aussi variées que passionnantes.
Jean-Marie Jeanton Lamarche
La République, c'est le déploiement de la démocratie libérale et représentative à l'intérieur et par le moyen de l'autorité de l'Etat.
Marcel Gauchet
La tragédie d'autrui nous aide toujours à réduire notre souffrance.
Paulo Coelho
Supposition : Hypothèse que l'on tente d'introduire par voie mentale.
Philippe Bouvard
Les arbres de nos villes sont des êtres séparés, que l'on taille et arrange à notre convenance, comme s'ils étaient nos objets. Quand tu regardes un arbre, perdu, oublié sur une place ou au bord d'une avenue, demande pardon pour le mal qu'on lui a fait.
Proverbe Amérindiens
Pourquoi va-t-on vers des livres comme on va vers des gens ? Pourquoi sommes-nous attirés par des couvertures comme nous le sommes par un regard, une voix qui nous paraît familière, déjà entendue, une voix qui nous détourne de notre chemin, nous fait lever les yeux, attire notre attention et va peut-être changer le cours de notre existence ?
Valérie Perrin