Citation de Frédéric Vitoux

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Il parlait lentement, il pensait lentement, il expliquait lentement, il devait dormir lentement. Violence et colère étaient des sent... - Frédéric Vitoux

Il parlait lentement, il pensait lentement, il expliquait lentement, il devait dormir lentement. Violence et colère étaient des sentiments trop rapides pour lui.

Frédéric Vitoux

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Le silence a cette vertu de laisser parler le regard, miroir de l'âme. On entend mieux les profondeurs quand on se tait.

Agnès Ledig

J'ai un très très mauvais caractère.

Alain Delon

Bon crocheteur toutes portes crochète.

Charles de Bourdigné

Heureusement pour l'humanité de grands esprits travaillent encore, amenant de géniales idées qu'un esprit normal n'aurait pu avoir sans ingérer de fantastiques quantités de gin.

Dave Barry

Le niveau de la masse dépend de la conscience de l'individu.

Franz Kafka

Un concert n'est pas une interprétation en direct de notre album. C'est une theatrica ! un événement.

Freddie Mercury

Gardez-vous de vos prétendus amis qui n'encouragent ni ne soutiennent.

Henri-Frédéric Amiel

Il ne faut pas montrer une chaleur qui ne sera pas partagée ; rien n'est plus froid que ce qui n'est pas communiqué.

Joseph Joubert

"Dans la dernière édition de Paris-Roubaix, le coureur qui s'était détaché du peloton et allait l'emporter était tellement en avance sur l'horaire prévu que quand il est arrivé à l'entrée du vélodrome, la porte en métal était encore fermée ; il est mort sur le coup."

Marc Escayrol

Plus on fait de choses, plus on a de temps pour en faire. Moins on en fait, moins on en a : les oisifs n'ont jamais une minute à eux.

Maurice Sachs

Sans le Gouvernement, on ne rirait plus en France.

Nicolas de Chamfort

Et la clef de soleil est sous ma main...

O. V. de L. Milosz

Ah ! Figaro, mon ami, tu seras mon ange, mon libérateur, mon dieu tutélaire.

Pierre-Augustin Caron

La buse qui plane ne se doute pas que ceux qui sont en bas devinent ses intentions.

Proverbe Africain

Lis entre mes lignes, lis dans mes larmes, je vis ma vie comme un soldat sans armes.

Véronique Ovaldé