La soumission à la morale peut être servile, ou vaniteuse, ou égoïste, ou résignée, ou confuse et exaltée, ou irréfléchie, ou encore être un acte de désespoir, comme la soumission à un prince : en soi, elle n'a rien de moral.
Du côté de la nature, la vie est toujours belle et du côté des hommes elle ne l'est pas quelquefois.