Citation de Friedrich von Schiller

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Joie, belle étincelle divine, - Fille de l'Elysée, - Nous pénétrons, ivres de ta flamme, - O Céleste, dans ton sanctuaire.... - Friedrich von Schiller

Joie, belle étincelle divine, - Fille de l'Elysée, - Nous pénétrons, ivres de ta flamme, - O Céleste, dans ton sanctuaire.

Friedrich von Schiller

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A tous ceux pour qui le 15 novembre est un 1er janvier, bonne et heureuse année.

Albert Brie

Qui peut et n'empêche pèche.

Antoine Loysel

La routine, cette préface des révolutions.

Émile de Girardin

Concupiscent : ce n'est pas un mot. C'est un rébus.

Francis Blanche

Les hommes s'imaginent faire des enfants, alors qu'ils ne font que d'autres hommes.

Frédéric Dard

Après tout, ce qui doit venir n'est pas tant à découvrir qu'à inventer...

Hélène Grimaud

Aussi simple et aussi novice qu'auparavant je ne restai pas même affriandé de jolies femmes.

Jean-Jacques Rousseau

Plein d'avenir ? L'avenir me semblait plutôt se rétrécir chaque jour, le mien comme celui de l'Allemagne. Lorsque je me retournais, je contemplais avec effroi le long couloir obscur, le tunnel qui menait du fond du passé jusqu'au moment présent.

Jonathan Littell

J'ai plusieurs fois ressenti le besoin de parler. Mais là, c'est fondamental, j'ai beaucoup de choses à lâcher. Je serre les dents depuis longtemps.

Lambert Wilson

En tout cas, si j'ai appris une chose en vingt ans de mariage, c'est qu'on gagne toujours à s'excuser.

Linwood Barclay

L'amour dure qu'un temps : le temps que tu baisses les armes.

Lord Esperanza

Dire à quelqu'un, comme il me le répétait je t'aimerai toute ma vie n'engage pas à grand chose quand, dans le quotidien, on ne la partage pas.

Madeleine Chapsal

Je n'oublierai jamais le jour où j'ai vu la mer pour la première fois parce que c'est aussi le jour de ma première révolte. Ma carrière politique, c'est à dire toute ma vie, a commencé là.

Pierre Mauroy

Qui vaut la peine d'être vu ? Oui, mais non qui vaut la peine d'aller voir.

Samuel Johnson

Mars qui rit, malgré les averses, prépare en secret le printemps.

Théophile Gautier