Citation de Gaël Aymon

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Alors il lui donna tous ses mots pour qu'il puisse nommer ses peurs. Et les peurs s'envolèrent avec les mots.... - Gaël Aymon

Alors il lui donna tous ses mots pour qu'il puisse nommer ses peurs. Et les peurs s'envolèrent avec les mots.

Gaël Aymon

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L'humain m'intéresse.

Alain Chabat

Et nos deux âmes s'étreignirent de toute la force de nos bras.

Alphonse Daudet

Le musée est un des lieux qui donnent la plus haute idée de l'homme.

André Malraux

Le bercement des nourrices, les câlineries maternelles, les chatteries des soeurs, transforment pour ainsi dire, en la pétrissant, la pâte masculine.

Charles Baudelaire

Celui qui court vers la femme qu'il aime, celui-là aussi fait tourner le monde !

Daniel Pennac

Le luxe, c'est ce que l'on doit avoir, lorsque l'on a déjà eu tout le reste.

Dinah Blake

La pensée est toujours en retard sur le regard, ce qui longtemps nous fit croire qu'une partie du monde nous était cachée.

Edmond Jabès

C'estoit un personnage parfaittement droit et juste ès choses privées d'homme à homme.

Jacques Amyot

Le traité de morale qui peint nos vices nous semble moins un miroir qu'un transparent à travers lequel nous voyons défiler nos voisins.

Jean Antoine Petit-Senn

Au bord du quai les pêcheurs ne prenaient rien. Ils n'avaient même pas l'air de tenir beaucoup à en prendre des poissons. Les poissons devaient les connaître. Ils restaient là tous à faire semblant.

Louis-Ferdinand Céline

Il faut qu'un roi ait bien peu d'esprit, ou l'âme bien peu forte, pour ne pas dominer ceux dont il se sert.

Luc de Clapiers

Ce sont les amis qu'on peut appeler à quatre heures du matin qui comptent.

Marlene Dietrich

Je l'effleure de toutes mes forces, elle m'est fleur de toutes les siennes.

Mathias Malzieu

Lioudmilla : Toutes les personnes intelligentes sont désagréables ! - Vassa : Vraiment ? Et moi, à ton avis, je suis une imbécile ? - Lioudmilla : Toi, tu n'es ni une imbécile, ni une personne intelligente, tu es simplement une femme.

Maxime Gorki

Dans les années 1846, il y eut un spectacle qui fit fureur à Paris. C'étaient des femmes nues, vêtues seulement d'un maillot rose et d'une jupe de gaze, exécutant des poses qu'on appelait Tableaux vivants.

Victor Hugo