La holà, ce double salut nazi socialement acceptable.
Gaspard Proust
... A chaque pas que vous ferez dans ce chemin, vous verrez tant de certitude du gain, et tant de néant de ce que vous hasardez, que vous connaîtrez à la fin que vous avez parié pour une chose certaine, infinie, pour laquelle vous n'avez rien donné.
Blaise Pascal
Le temps, j'en ai toujours eu besoin pour faire ce que j'avais à faire : rien.
Christian Bobin
Les événements de la vie peuvent changer le caractère d'une personne ; le tempérament demeure, parce qu'il reste sous le contrôle des gènes qui l'ont produit.
Ernest Ouellet
Qui donc des hommes ose se juger puissant quand n'importe quel accident peut l'anéantir, effacer jusqu'à sa trace ?
Euripide
Les sabliers ne nous rappellent point seulement le rapide cours du temps, mais à la fois la poussière où nous tomberons un jour.
Georg Christoph Lichtenberg
Mère, donne-moi le soleil.
Henrik Ibsen
L'amabilité de bien des gens n'est que l'écho de ce qu'ils entendent dire ; leur esprit, meublé aux frais des autres, loge toujours en garni.
Jean Antoine Petit-Senn
C'est à peine éclairé, mais j'y vois assez pour me rendre compte qu'on a changé de crémerie.
Jean Giono
Un lieu ne se résume pas à ces caractéristiques géographiques et physiques. C'est le sanctuaire des souvenirs, le dépositaire des événements joyeux et tristes qui s'y sont déroulés.
Kate Morton
Le pouvoir ne règne qu'à la condition de diviser ; il n'a de ressource que dans l'heureuse alternative de la ruse ou de la force.
Lord Byron
Un prince ou une république qui a quelque ambition ne peut trouver une occasion plus favorable d'envahir une ville ou une province que celle où ses armées sont appelées pour la défendre.
Nicolas Machiavel
La véritable perfection d'un homme réside, non dans ce qu'il a, mais dans ce qu'il est.
Oscar Wilde
Les personnes qui font vraiment des affaires ne font que ça.
Philip Chesterfield
Même pour faire cuire des pommes, Encore faut-il savoir comme.
Proverbe Allemand
Les mensonges les plus cruels se disent souvent dans le silence.
Robert Louis Stevenson