Citation de Georg Christoph Lichtenberg

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Un fou qui s'imagine être un prince ne se différencie aucunement du prince qu'il croit être, hormis qu'il est le négatif... - Georg Christoph Lichtenberg

Un fou qui s'imagine être un prince ne se différencie aucunement du prince qu'il croit être, hormis qu'il est le négatif du prince et ce dernier, le négatif du fou. Qu'on néglige de considérer les signes, ils sont égaux.

Georg Christoph Lichtenberg

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La nature humaine, si elle évolue, ce n'est guère plus vite que le profil géologique de la terre.

Alexandre Soljenitsyne

On a besoin de ses mains pour dire les choses que la parole ne traduit pas.

Anne Hébert

Le sexe est si facile quand vous êtes acteur, surtout à Hollywood. Ce n'est pas plus compliqué que d'acheter un hamburger.

Anthony Quinn

Grandir, c'est apprendre le mal. Le mal est inévitable.

Claire France

Je voulais vous raconter une histoire de boomerang mais je ne m'en rappelle plus. Enfin, c'est pas grave, ça va me revenir.

Coluche

Sous la couche épaisse de nos actes, notre âme d'enfant demeure inchangée ; l'âme échappe au temps.

François Mauriac

La souffrance étant tout ce qui reste aux misérables, quelle cruauté que de vouloir la partager !

Jean-Marc Lenglen

Si le temps est mis à mort, sacrifié, l'homme est libéré du poids funeste de l'Histoire.

Jean-Marie Adiaffi

La vérité vaut bien qu'on passe quelques années sans la trouver.

Jules Renard

Partager un repas avec quelqu'un est un acte intime qui ne devrait pas être pris à la légère.

Marc Fisher

Ma sympathie tend toujours vers la révolte, de quelque parti qu'elle s'élève.

Marcel Arland

La réalité de nos itinéraires est rarement rectiligne.

Patrice Lepage

Chandeleur à ta porte, c'est la fin des feuilles mortes.

Proverbe Français

Il faut accepter les coups de pied de la vache comme on accepte son lait et son beurre.

Proverbe Indien

On ne croyait pas uniquement à ce qui était raisonnable. La raison rétrécit la vie, comme l'eau rétrécit les tricots de laine, si bien qu'on s'y sent coincé et on ne peut plus lever les bras.

René Barjavel