Vous voyez les choses ; et vous demandez "pourquoi ?". Mais je rêve de choses qui n'existent pas encore ; et je demande "pourquoi pas ?".
George Bernard Shaw
Qui traverse le désert apprend à connaître la valeur de l'eau. Qui voyage en mer apprend à connaître les dangers de l'eau. Qui ne connaît ni désert ni mer s'indiffère à la vue de l'eau.
Daniel Desbiens
Ta tâche n'est pas de chercher l'amour, mais simplement de chercher et trouver tous les obstacles que tu as construits contre l'amour.
Djalâl ad-Dîn Rûmî
La femme seule ne doit qu'à elle-même le compte de ses jours. Elle s'habille pour elle, sort à sa guise, rentre à son gré, dispose comme il lui plaît de son temps, de son coeur et de son téléphone. Elle n'a jamais besoin de mentir, ni d'inventer.
Germaine Beaumont
J'ai vu ces années sur son visage, j'ai vu le temps qui nous éloigne de nos rêves et nous rapproche du silence.
Grégoire Delacourt
La conversation de Charles était plate comme un trottoir de rue.
Gustave Flaubert
Parfois, il faut tout perdre pour se trouver.
Jandy Nelson
J'ouvre les yeux et je te vois J'ouvre les yeux et je te crois J'ouvre les yeux et c'est pour toi Que je veux vivre, mon amour.
Jean Ferrat
Changer d'avis avec son habit.
Libanios
L'amour est comme le feu, s'il n'est pas alimenté, il s'éteint.
Mikhaïl Lermontov
La science qui s'occupe des ancêtres s'appelle la gynécologie.
Perles du Bac
À la Chandeleur, Quéré fait des crêpes jusqu'à pas d'heure.
Proverbe Français
Qui du sien donne, Dieu lui redonne.
Tu ne tariras pas la rivière avec une cuillère.
Proverbe Russe
J'aime également Milan Kundera. D'ailleurs j'emprunte l'une de ses expressions. C'est lui qui m'a inspiré le personnage de Lena. Dans une interview, il parle d'une exilée de l'intérieur. C'est ce que nous sommes. On est écartelés entre pragmatisme et humanisme par rapport à ces enfants.
Sonia Mabrouk
Enfoncer les carrés, pulvériser les régiments, rompre les lignes, broyer et disperser les masses, tout pour lui était là, frapper, frapper, frapper sans cesse, et il confiait cette besogne au boulet.
Victor Hugo