Citation de Georges Bernanos

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Seulement, un litre, dame ! lorsqu'on a déjà son compte ! J'ai dû m'arrêter de biberonner, à bout de souffle.... - Georges Bernanos

Seulement, un litre, dame ! lorsqu'on a déjà son compte ! J'ai dû m'arrêter de biberonner, à bout de souffle.

Georges Bernanos

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La question du mal a constitué d'emblée l'enjeu fondamental de la pensée.

André Glucksmann

Les familles c'est comme les icebergs, il y une partie immergée que l'on ne voit jamais... sauf pour les enterrements.

Hervé Giraud

La jalousie et la souffrance Déchirent mon coeur tour à tour ; J'ai la fortune et la puissance, Tout cela ne vaut pas l'amour.

Jacques Offenbach

Même si le bonheur t'oublie un peu, ne l'oublie jamais tout à fait.

Jacques Prévert

L'azur, certains soirs, a des soins de vieil or. Le paysage est une icône. Il semble qu'au soleil couchant le ciel qui se craquelle se reprenne un instant à croire à son bleu. Un jour inespéré se lève tandis que sur la mer la nuit reprend ses appuis.

Jean-Michel Maulpoix

La plus insupportable engeance de voleurs, ce sont les sots ; ils nous volent à la fois notre temps et notre bonne humeur.

Johann Wolfgang von Goethe

Ce ne sont pas les lieux, c'est son coeur qu'on habite.

John Milton

L'éloignement dans le futur de la date de péremption d'un produit est inversement proportionnel à l'envie que l'on a de le consommer.

Loi de Murphy

Dîné de procureur, soupé de marchand.

Proverbe Français

Grâce à Fidel Castro, les Cubains ont récupéré leur territoire, leur vie, leur destin. Ils se sont inspirés de la Révolution française sans pour autant connaître la terreur qu'il y a eue pendant la Révolution française.

Ségolène Royal

L'essentiel est l'emploi de la vie, non sa durée.

Sénèque

S'installer dans le réduit d'une hutte sibérienne, c'est gagner la bataille contre l'ensevelissement des objets.

Sylvain Tesson

Les peines de l'homme vertueux sont les jouissances du méchant ; mais le lion lui-même ne trouve pas toujours de proie, et la dévorante perplexité se place souvent dans le coeur de l'homme injuste et puissant.

Théognis de Mégare

Le seul vrai lecteur, c'est le lecteur pensif. C'est à lui que ce livre est adressé.

Victor Hugo

Il eut le courage de souffrir la vie !

Voltaire