Citation de Georges Courteline

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Quelles fibres me lient donc à toi, que toutes mes énergies d'homme ne puissent suffire à les briser ?... - Georges Courteline

Quelles fibres me lient donc à toi, que toutes mes énergies d'homme ne puissent suffire à les briser ?

Georges Courteline

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- De quoi est-il mort ? - De toute façon, on ne savait déjà pas de quoi il vivait.

Anonyme

La fidélité est contraire à la nature humaine.

Charles Fourier

Les hommes aiment bien parler de nos miches, nibards, joufflus et roploplos, mais ils détestent nous entendre grivoiser à propos de "Charles-le-Chauve" !

Florence Cestac

Tous les peuples ont fixé des anniversaires à la célébration de leurs triomphes, de leurs désordres, ou de leurs malheurs.

François-René de Chateaubriand

Vivre, c'est repousser quelque chose qui veut mourir.

Friedrich Nietzsche

Ce n'est pas que les chrétiens soient moins nombreux, c'est que le nombre des chrétiens médiocres augmente.

Georges Bernanos

Il faut s'emparer des vins à leur descente de cuve, comme l'on s'emparait autrefois d'une jeune fille à la sortie d'un couvent, lorsqu'on voulait être sûr d'avoir une épouse sans tache.

Grimod de La Reynière

La vérité ne triomphe jamais tout de suite, mais les imbéciles finissent par mourir.

Jacques Bergier

L'illusion du plaisir et la peur de la mort sont les seules industries où l'on peut faire lâcher jusqu'à leur dernier sou aux hommes...

Jean Anouilh

Avec le temps on s'accoutume à tout.

Jean-Antoine du Cerceau

En vérité, c'est aussi bien dit que si je l'avais dit moi-même.

Jonathan Swift

Impossible de savoir non plus si quelqu'un d'autre t'aime. Tu peux tout au plus le croire ou l'espérer.

Jostein Gaarder

Il y avait un pli sous le menton, plusieurs petites rides au front, des traces de couperose aux pommettes et aux ailes du nez.

Jules Romains

Le monde n'existe pas, il se crée simplement à chaque instant. L'impression de continuité résulte du manque d'invention.

Stanislaw Jerzy Lec

Je suis de ce siècle, je resterai jusqu'à la mort le protestant de la liberté d'aimer.

Victor Hugo