Citation de Georges Courteline

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Nous sommes bien faits, ami, pour nous comprendre ! Pour être l'un à l'autre et, dans tout, de moitié !... - Georges Courteline

Nous sommes bien faits, ami, pour nous comprendre ! Pour être l'un à l'autre et, dans tout, de moitié !

Georges Courteline

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Plaideur. Personne qui se prépare à abandonner sa peau dans l'espoir de sauver ses os.

Ambrose Bierce

J'ai toujours senti que le Rock&Roll était très, très sain.

Aretha Franklin

Tout est redevenu étrangement calme - Les fakirs traversent dans les clous.

Boris Bergman

Les hommes vertueux ressemblent aux fumeurs dont les poches sont bourrées de cigarettes, mais qui s'interdisent d'acheter des allumettes.

Eric Brunet

Devant une flamme, dès qu'on rêve, ce que l'on perçoit n'est rien au regard de ce qu'on imagine.

Gaston Bachelard

Le coeur, c'est la foudre. On ne sait où elle tombe que quand elle est tombée.

Henri Lacordaire

Les promesses n'engagent que ceux qui les écoutent.

Henri Queuille

Qu'est-ce que tu appelles l'ordre du monde ? - La magie quotidienne du mal.

Imre Kertész

Renan a dit : Les rieurs ne régneront jamais. Il est vrai qu'ils se moquent de régner.

Jules Renard

La Chambre est femme. Le sentiment a sur elle un grand empire. La seule raison n'en a point.

Louis Latzarus

L'homme cherche la nouveauté dans les cimetières.

Louis Scutenaire

C'est vers la Saint-Hippolyte - Que le raisin change plus vite.

Proverbe Français

Il n'y a pas d'endroit paisible dans les villes de l'homme blanc. Pas d'endroit pour entendre les feuilles se dérouler au printemps, ou le froissement des ailes d'un insecte. Mais peut-être est-ce parce que je suis un sauvage et ne comprends pas.

Seattle

Aime celui qui t'aime, et sois heureuse en lui.

Victor Hugo

Je vais ainsi toute la journée, sans trop savoir où je suis, l'oeil le plus souvent fixé à terre, la tête courbée vers le sentier, les bras derrière le dos, laissant tomber les heures et ramassant les pensées quand j'en trouve.

Victor Hugo