Citation de Georges Courteline

← Précédent Suivant →
L'âme humaine est abjecte, vue de près ; elle est pareille à ces ruisselets glissant en puretés de cristal sur des lits de v... - Georges Courteline

L'âme humaine est abjecte, vue de près ; elle est pareille à ces ruisselets glissant en puretés de cristal sur des lits de vase pestiférée où grouillent d'immondes animaux !

Georges Courteline

Toutes les citations de Georges Courteline →

Explorer les Citations

Le tourbillon destructeur de l'histoire, en balayant à tous vents les cultures en miettes, disperse aussi des spores.

Edgar Morin

Je respecte toujours une femme.

Enrique Iglesias

Songe aux têtes de mort qui se ressemblent toutes.

François Coppée

On aime ce qui nous a émerveillé, et on protège ce que l'on aime.

Jacques-Yves Cousteau

Nous sommes toujours fort reconnaissants des services... qu'on va nous rendre.

Jean Antoine Petit-Senn

J'en arrive à l'âge où l'on commence à faire pitié lorsqu'on est pauvre.

Jean Rostand

Il n'y a pas de bien et de mal, il n'y a que des circonstances. Va vers ce qui te cicatrise.

Jean-Philippe Blondel

C'est cela, le drame des dilettantes : ils ne sont que des amateurs éphémères de ce qui est éternel...

Marie-Claire Blais

Pour l'orateur, les gens de qualité sont ceux qui l'écoutent.

Philippe Delerm

Je n'arrive pas à sentir la faute qu'il y aurait à satisfaire ses passions... En revanche, je perçois très clairement leur inanité.

Philippe Sollers

Leur secte est insensée, impie, et sacrilége, et dans son sacrifice use de sortilége ; mais sa fureur ne va qu'à briser nos autels : elle n'en veut qu'aux dieux, et non pas aux mortels.

Pierre Corneille

Tard vaut mieux que pas du tout.

Proverbe Anglais

Les bals les plus réussis sont ceux dont on parle le plus sans y être allé.

Salvador Dalí

Le monde ne peut jamais pardonner à ceux qui ne sont coupables de rien.

Stanislaw Jerzy Lec

A mon avis, le lobby atomique international ne veut pas reconnaître les dimensions de la catastrophe chez nous, parce que si on les reconnaissait, l'énergie atomique n'aurait plus droit à l'existence.

Wladimir Tchertkoff