Après le pain, l'éducation est le premier besoin d'un peuple.
Georges Jacques Danton
Les Blancs changent sans arrêt le monde pour l'adapter à la vision fluctuante qu'ils ont de l'avenir. Les aborigènes mobilisent toute leur énergie mentale pour laisser le monde dans l'état où il était. En quoi cette conception est-elle inférieure ?
Bruce Chatwin
Nous sommes tous des imbéciles, mais certains le savent, certains ne le savent pas.
Dan Millman
Ce qui est macabre dans la mort, ce n'est pas la séparation du corps et de l'esprit, c'est ce qui reste. Une sombre copie inerte, impuissante, exposée à la vue de tous les curieux.
Dielle Doran
Ecrire, quelle boucherie !
Dominique Rolin
Que les morts seraient embarrassants s'ils revenaient !
François Mauriac
Si le sage seul est digne d'aimer, seul il mérite qu'on l'aime.
Geneviève Thiroux d'Arconville
Je comprends enfin à quel moment les dames commencent à opter pour les deux pièces : quand elles ne supportent plus que la mode de la rue leur rappelle leur jeunesse perdue.
Helen Fielding
Chanter Ce n'est pas ce qu'on vous proclame Chanter Il faut s'y jeter à tue-tête A bras le coeur à fendre l'âme Avec un seul point au programme Celui de n'être sûr de rien Celui de n'être sûr de rien.
Jean Ferrat
Les hommes sont souvent estimés par les endroits où ils sont les plus blâmables.
Jean-François Paul de Gondi
Les mots sont la menue monnaie de la pensée. Il y a des bavards qui nous payent en pièces de dix sous. D'autres, au contraire, ne donnent que des louis d'or.
Jules Renard
Pour ne pas qu'on les repère à leur képi, en Corse, les gendarmes portent des cagoules. Le plus dur, c'est d'enfiler la cagoule par-dessus le képi !
Laurent Ruquier
Mari honnête : Mari tellement bon et naïf qu'il se fait manipuler par sa femme
Marc Escayrol
Un homme, c'est cette créature avec qui vous voudriez toujours avoir affaire, que vous voudriez trouver partout, quoique vous ne vouliez jamais lui ressembler.
Marivaux
Tu me plais tellement que, quand il t'arrive de n'être pas jolie, je te trouve belle.
Sacha Guitry
J'ai toujours été frappée par l'incrédulité que manifestent les parents de ces djihadistes lorsqu'ils apprennent les véritables intentions de leur progéniture. Comme s'ils ne pouvaient accepter, ni même imaginer l'impensable. Je me souviens d'un reportage de la télévision tunisienne, où l'on voyait un père, la mine désespérée, s'exprimer sur le départ de son fils.
Sonia Mabrouk