Toute vraie révolution doit commencer par la morale. Aucun progrès n'est possible tant qu'on ne change pas les règles de vie. Par exemple, il y a une institution désuète contre laquelle je lutterai tant que je pourrai, c'est le mariage.
Georges Simenon
Ayant été un enfant acteur, je me souviens comment les réalisateurs me trompaient pour obtenir de bonnes performances de ma part.
Asia Argento
Mains, outils de l'esprit sans lesquels la pensée n'est que chimère.
Aslan
Une femme ne portera pas un costume masculin, et un homme ne mettra pas un vêtement de femme : quiconque agit ainsi est en abomination à Yahvé ton Dieu.
Bible
La vie est la vie, autrement dit un combat, pour une nation comme pour un homme.
Charles de Gaulle
Les échecs ne sont pas le champ de l'intelligence, du talent, de l'imagination, mais tout bêtement celui de la pure logique mathématique.
Françoise Giroud
Jason fut esleu capitaine de la grande nef d'Argo, avec commission d'aller çà et là, pour oster et chasser tous les coursaires et larrons escumans la mer.
Jacques Amyot
Montrer qu'ilz n'avoient point le cueur failly.
Je n'ai besoin de rien, mais rien ne me suffirait.
Jean Rostand
C'est utile, une révolution. Ça met des freins au gouvernement, ça le force à agir, à pencher d'un certain côté. Mais pas plus. L'état demeure.
Jean-François Somain
Il y a deux façons de faire de la politique. Ou bien on vit pour la politique ou on vit de la politique.
Max Weber
Les doutes valent mieux que de fausses certitudes.
Michel Bussi
L'optique, qui se développe en nous par l'étude, nous apprend à voir.
Paul Cézanne
Pour ne pas devoir affronter une situation trop pénible, on s'avoue coupable de tout, c'est-à-dire de rien. La démission devant une situation qui apparaît trop effrayante dégénère peu à peu en une démission devant la vie toute entière.
Pierre Dac
N'engage pas de débat lors d'un dîner car celui qui n'a pas faim aura le dernier mot.
Richard Whately
Et je n'ai pas cru que tes édits puissent l'emporter sur les lois non écrites et immuables des Dieux, puisque tu n'es qu'un mortel.
Sophocle