Citation de Georges Wolinski

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Je mets parfois ma culotte par-dessus mon pantalon pour ne pas la salir.... - Georges Wolinski

Je mets parfois ma culotte par-dessus mon pantalon pour ne pas la salir.

Georges Wolinski

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On suit toujours le sens de l'histoire quand on la pousse devant soi.

Alexandre Vialatte

Les célibataires prennent le mariage plus au sérieux que les gens mariés.

Cesare Pavese

La haine est une liqueur précieuse, un poison plus cher que celui des Borgia, car il est fait avec notre sang, notre santé, notre sommeil et les deux tiers de notre amour ! Il faut en être avare !

Charles Baudelaire

Pour qu'une chose soit vraie il faut qu'en plus d'être vraie elle entre dans notre vie.

Christian Bobin

... ils s'aimèrent comme deux époux quand ils ont perdu un enfant.

Clarice Lispector

C'est le problème avec les choses volées, comme toi avec ta jeunesse, on ne peut pas réussir à penser qu'elles nous appartiennent vraiment, et il faut continuer à les voler pour l'éternité, c'est un vol qui n'en finit pas. Tu voulais la rattraper, la récupérer, la revoler.

Édouard Louis

Courte est la journée, - Courts sont tous les jours. - Courte encore est l'heure. - Mais l'instant s'allonge - Qui a profondeur.

Eugène Guillevic

Nul homme n'est sans défauts : le meilleur est celui qui en a le moins.

Horace

Et dans les abattoirs Où l'on traîne les boeufs La mort ne vaut guère mieux Qu'aux arènes le soir.

Jean Ferrat

Quel admirable animal que le cochon ! Il ne lui manque que de savoir faire lui-même son boudin.

Jules Renard

Ce n'est ni l'amitié ni la bonté qui nous manquent, mais nous qui manquons à l'amitié et à la bonté.

Marcel Jouhandeau

Quoi de plus lucide que la peur ?

Maurice Gagnon

Quoique l'on ait de bons instruments aratoires, rien n'est avantageux comme d'attendre la saison favorable.

Mencius

L'extraordinaire se trouve sur le chemin des gens ordinaires.

Paulo Coelho

Amour ! toi qui nous charmes ! - ... - Tu nous tiens par la joie, et surtout par les larmes ; - Jeune homme on te maudit, on t'adore vieillard.

Victor Hugo