Citation de Germaine de Staël

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En apprenant la prosodie d'une langue, on entre plus intimement dans l'esprit de la nation qui la parle que par quelque genre d'ét... - Germaine de Staël

En apprenant la prosodie d'une langue, on entre plus intimement dans l'esprit de la nation qui la parle que par quelque genre d'étude que ce puisse être.

Germaine de Staël

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La liberté d'expression n'est jamais aussi précieuse que lorsqu'un homme se blesse le pouce avec un marteau.

Anonyme

Je suis en colère. Nous devrions tous être en colère. L'histoire de la colère comme matrice d'un changement positif est longue. Outre la colère, je ressens de l'espoir, parce que je crois profondément en la perfectibilité de l'être humain.

Chimamanda Ngozi Adichie

Le zéro, ce "rien qui peut tout".

Denis Guedj

La foule s'attroupait, se retournait, pour voir à qui en avait ce grand diable.

Emile Zola

Le système monarchique ne tend pas à ennoblir le coeur de l'homme.

George Sand

Cette douleur, je ne veux pas la surmonter, car c'est la seule chose qui me retient en vie. C'est tout ce qu'il me reste d'elle, tu comprends ?

Guillaume Musso

Le péché est né avant la vertu, comme le moteur est né avant le frein.

Jean-Paul Sartre

Si lors d'une soirée, une seule personne doit repartir célibataire, alors ce sera vous.

Loi de Murphy

La femme a des sexes un peu partout. Elle jouit d'un peu partout.

Luce Irigaray

Si l'acteur ne bouscule pas la réalité pour aller plus loin dans les émotions ou dans le rire, ce n'est plus un artiste.

Michel Serrault

Demain, après demain, le temps ne compte pas.

Proverbe Arabe

Le drame se complaît souvent autour des objets les moins significatifs.

Raymond Radiguet

Je suis plutôt un aquoiboniste qu'un nihiliste, ce qui est plus nuancé. Parce qu'au bout du nihilisme il y a un revolver.

Serge Gainsbourg

Etre, c'est être la somme de tout ce qu'on a été. L'homme ne comprend et n'accepte l'immortalité qu'à condition de se souvenir. Etre, pour la créature intelligente, c'est comparer perpétuellement ce qu'on a été avec ce qu'on est.

Victor Hugo

Parfois prend le miroir Entre ciel et chambre Dans ses mains le minime Soleil terrestre.

Yves Bonnefoy