Le véritable prince est celui qui trouve son trône dans le coeur du derviche.
Gibran Khalil Gibran
Spaghetto : quartier réservé aux mangeurs de nouilles.
Alain Finkielkraut
sans métrise, la puissance n'est rien...
Anonyme
C'était grande assemblée des Fées, pour procéder à la répartitiondes dons parmi tous les nouveau-nés, arrivés à la vie depuis vingt-quatre heures.
Charles Baudelaire
Les critères et fictions virilistes se périment à mesure que la technologie se substitue à l'humain. Force et puissance physiques : les muscles de ces messieurs, l'automation s'en branle, drones et exosquelettes partout se greffent et se déploient.
Chloé Delaume
Les antiquaires sont des pilleurs d'âmes.
Daniel Pennac
Les femmes mentent, mentent, mentent.
Guillaume Apollinaire
Alban, en étude, songeait que tout à l'heure - il regarda sa montre : dans une heure dix environ -il donnerait un baiser à Aymery de La Maisonfort, à qui il n'avait adressé la parole que deux ou trois fois, et toujours ès choses les plus indifférentes. Le premier être humain qu'il baiserait au visage, du moins d'un baiser "passionnel".
Henry de Montherlant
Aucun moment de cinéma ne vaut un moment de vie.
Isabelle Huppert
J'ai dit des vérités aux hommes ; ils les ont mal prises ; je ne dirai plus rien.
Jean-Jacques Rousseau
La Bible nous enseigne qu'il y a une saison pour tout, un temps pour construire, un temps pour récolter et un temps pour semer, et un temps pour guérir. Le moment est venu de guérir en Amérique.
Joe Biden
On gagne à faire preuve d'humilité et de charité au moment de juger le coeur d'autrui.
Khaled Hosseini
Il faut s'adapter. S'accoutumer au climat, aux routes, aux noms, au rythme, aux mœurs, s'accoutumer à la langue
Najat Vallaud-Belkacem
Même j'ai retrouvé debout la Velléda, Dont le plâtre s'écaille au bout de l'avenue, Grêle, parmi l'odeur fade du réséda.
Paul Verlaine
Un certain air d'audace et de gaieté dans le regard contrastait avec cette apparence maladive.
Prosper Mérimée
Le cadeau est attouchement, sensualité : tu vas toucher ce que j'ai touché, une troisième peau nous unit. Je donne à X... un foulard et il le porte : X... me donne le fait de le porter ; et c'est d'ailleurs ainsi que, naïvement, il le conçoit et le dit.
Roland Barthes