A force de vivre seul on finit pas ne plus rien comprendre aux relations avec autrui.
Gilbert Choquette
Comprends-tu que dix ans ce lien nous enlace, Qui ne fasse dix ans qu'un seul être de deux, Puis tout à coup se brise...
Alfred de Musset
Je t'aime ! J'ai soif de toi, soif de tes baisers, soif de tes étreintes d'amour, mon adoré.
Alphonse Esquiros
Dans les choses que nous voulons il y a toujours plus que les choses elles-mêmes.
Christian Bobin
Peut-être ne se rend-on jamais vraiment compte de la profondeur de son abîme.
Diane Ducret
Ce que fait cet homme pour sa soeur est étonnant !... Un tel dévouement ! Une telle abnégation !... Ce n'est pas une vie !
Didier Comès
À mon avis, il est inconsidéré d'offrir sa confiance à des personnes que l'on ne connaît pas encore très bien.
Donna Leon
Etre belle n'est pas mon métier, mais c'est une politesse quand on s'exhibe. J'ai le sentiment bizarre d'être impolie...
Françoise Giroud
Il y a peu de temps encore un Intouchable qui allait traverser une route devait agiter une sonnette et crier bien haut : Attention, Brahmes des environs, un salaud, un misérable intouchable, va passer. Attention, le rebut va passer.
Henri Michaux
Parce qu'on ne s'égorge qu'à prix d'argent, et que ce nerf de la guerre manque à tous ceux qui la font aujourd'hui.
Jean Le Rond d'Alembert
Les hommes éprouvent plus de honte à s'entretenir de leurs maîtresses que de leurs femmes ; car, dans l'état de mariage, deux amis peuvent trouver à sympathiser, ne serait-ce qu'en se confiant mutuellement leurs doléances.
Jean Paul
Ayons le coeur haut, et l'esprit modeste.
Joseph Joubert
Le malheur d'autrui nous console de notre propre malheur.
Lucien de Samosate
Nous ne sommes pas ce que nous sommes véritablement, il nous reste toujours à devenir vrais, à devenir Brahman.
Rabindranath Tagore
Je n'ai pas besoin d'une armée, dit-il. Les idées n'ont pas besoin de troupes : elles font leur chemin toutes seules. Mais s'il y a un accrochage, il faut être en uniforme pour avoir droit à un communiqué sérieux.
Romain Gary
L'homme est abattu par la vieillesse, il l'est par la fièvre, mais bien plus encore par la pauvreté. Celui qu'elle accable ne peut plus parler, ne peut plus agir ; ses mains et sa langue même sont enchaînées.
Théognis de Mégare