Citation de Gilbert Simondon

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Un transformateur dont les enroulements sont accordés sur une certaine fréquence au moyen de capacités possède un excellent couplag... - Gilbert Simondon

Un transformateur dont les enroulements sont accordés sur une certaine fréquence au moyen de capacités possède un excellent couplage entre son primaire et son secondaire pour cette fréquence.

Gilbert Simondon

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On s'aime sans raison, on s'oublie sans motif.

Alphonse Karr

Le théâtre c'est en réalité la genèse de la création.

Antonin Artaud

Natures complimenteuses, natures équivoques. Le plus souvent, faire des compliments aux autres c'est en mendier pour soi-même.

Charles Dollfus

L'art ne s'apprend pas : il s'attrape.

Didier Le Pêcheur

Dieu est la meilleure plaisanterie de Dieu lui-même.

Fernando Pessoa

Après tout, le temps, l'histoire, la tradition et la civilisation ne font qu'un. Perdre la continuité du temps, c'est perdre quelque chose que l'on ne peut remplacer.

George Rippey Stewart

Essayez un peu, par plaisir, à m'envoyer des ambassades, à m'écrire secrètement de petits billets doux, à épier les moments que mon mari n'y sera pas.

Molière

Vous apprendrez de moi qu'il n'y a que les sots qui triomphent.

Pierre-Augustin Caron

On ne peut pas sonner les cloches et en même temps suivre la procession.

Proverbe Espagnol

Souvent à la Saint-Géraud, - Nous arrive trois jours de beau.

Proverbe Français

Si vous ne pouvez pas vous réconcilier avec la chaleur de votre sang, calez-vous la tête sous l'eau. Vous allez mourir. Le suicide aussi est un poème, en un certain sens. Il paraît même que c'est une oeuvre d'art.

Roger Fournier

J'avais pour les étables un goût plus irrésistible que jamais courtisan pour les antichambres royales ou impériales.

Rosa Bonheur

L'orée du bois : première ligne de l'armée des arbres.

Sylvain Tesson

Le monde est mon pays, - Tous les humains sont mes frères.

Thomas Paine

Un changement d'environnement est le miroir aux alouettes traditionnel auquel s'en remettent les amours et les poumons dont le sort est scellé.

Vladimir Nabokov