Citation de Ginette Quirion

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Quarante ans, bien sûr, c'est encore jeune mais on sent qu'il n'y a plus une minute à perdre, on sent que c'est l'été des Indiens de... - Ginette Quirion

Quarante ans, bien sûr, c'est encore jeune mais on sent qu'il n'y a plus une minute à perdre, on sent que c'est l'été des Indiens de la vie.

Ginette Quirion

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Aime comme si un jour tu devais haïr ; hais comme si un jour tu devais aimer.

Bias de Priène

Les lois se taisent parmi les armes.

Cicéron

Pourquoi sans cesse refuser de couper les amarres nous reliant au quai des ports visités par le voilier de notre vie déjà reparti et emporté par les grands vents du large ?

Daniel Desbiens

Plus j'y songe et plus je crois que le Christ m'est apparu comme celui qui départage entre deux impossibilités.

François Mauriac

Nos joies les plus profondes ne tiennent pas à des bonheurs établis, mais à nos bonheurs retrouvés.

Gérard Bauër

Quand j'étais petit, mon père c'était un Dieu. Après je me suis aperçu qu'on ne se comprenait pas sur certaines choses.

Gérard Jugnot

C'est le propre du comique d'étaler aux yeux l'insuffisance humaine.

Hippolyte Taine

La sécheresse a craqué la terre, l'herbe jaunie est si sèche qu'une étincelle pourrait transformer la prairie en brasier.

J. M. G. Le Clézio

Quand on fait de l'espionnage, on ne choisit pas la manière du combat, l'on profite des circonstances.

Jean Desgranges

Il est d'imposantes maximes qui portent, dans leur propre sens, la raison de leur certitude, ce qui fait leur autorité.

Joseph Joubert

Mens sana in corpore sano.

Juvénal

Le chemin du paradoxe est le chemin du vrai. Pour éprouver la Réalité, il faut la voir sur la corde raide. On ne juge bien des Vérités que lorsqu'elles se font acrobates.

Oscar Wilde

Si mon nom donne plus de poids au film, tant mieux !

Sophie Marceau

Un roman est un miroir que l'on promène le long du chemin.

Stendhal

Chacun interprète la diversité à sa manière. Peut-être ce grand vent de nouveautés n'est-il qu'un sirocco qui de nouveau les endormira tous.

Umberto Eco