Les vampyres régnaient sur le Babylon, imposants crocs limés, lentilles de contact colorées, look dandy trash.
Guillaume Lebeau
Femme ne pardonne jamais à qui surprend sa faiblesse.
Alfred de Musset
Le motif secret de nos actes, et j'entends : des plus décisifs, nous échappe ; et non seulement dans le souvenir que nous en gardons, mais bien au moment même.
André Gide
Le Moi ; le moi ardent, aux mains crochues, à la vision étroite, à l'âpre volonté de vaincre ; avec son long cortège de soupçons, de mauvais désirs, de tromperies, et toutes leurs conséquences qui se développent, voilà les racines de l'arbre immonde.
Charles Dickens
Assureur : Ange gardien avec des cornes.
Christophe Alévêque
J'aime le côté indépendant et rock des Bretons !
Dick Rivers
Je ne crois qu'à ce qui me coûte. Je n'ai rien fait de passable en ce monde qui ne m'ait d'abord paru inutile, inutile jusqu'au ridicule, inutile jusqu'au dégoût.
Georges Bernanos
A bientôt : quelle expression détestable. Pour moi qui panique à l'idée de perdre les gens, ces simples mots sont une horreur. Ils signifient que l'on ne sait pas quand on se reverra. On accepte que le hasard décide. C'est insupportable.
Gilles Legardinier
Cognac : Très funeste. Excellent dans plusieurs maladies. Un bon verre de cognac ne fait jamais de mal. Pris à jeun tue le ver de l'estomac.
Gustave Flaubert
La monnaie unique entraîne une polarisation de la richesse à une extrémité et du sous-développement à une autre.
Jean-Pierre Chevènement
Comment se fait-il qu'on ne t'ait pas affranchi ? Pourquoi Gilbert ne t'a-t-il pas dit avec qui il a fait le coup ?
Jean-Pierre Melville
Il est certains esprits dont les sombres pensées Sont d'un nuage épais toujours embarrassées ; Le jour de la raison ne le saurait percer. Avant donc que d'écrire, apprenez à penser.
Nicolas Boileau
Informe-toi du voisin avant de prendre logis, et du compagnon avant de te mettre en route.
Proverbe Arabe
Qu'est-ce donc que l'amour sinon une oeuvre d'imagination ?
Romain Gary
Quand on les connaissait, tous les hommes se ressemblaient. Ils se rangeaient immanquablement dans deux catégories. Ceux qui avaient soif de liberté et luttaient pour mieux vivre, et ceux qui se laissaient porter par les événements, convaincus qu'un chef ou un gouvernement prendrait soin d'eux. En échange d'un confort très relatif, ceux-ci renonçaient à tout ce qui faisait la valeur de la vie.
Terry Goodkind
La littérature actuelle peut être en partie le résultat de la révolution, sans en être l'expression.
Victor Hugo